tag:blogger.com,1999:blog-69192378969834036042024-03-05T13:57:46.936-04:00Cyberbulletin du patrimoine du Nouveau-BrunswickLe Cyberbulletin du patrimoine du Nouveau-Brunswick est un service offert par la Direction du patrimoine du Ministère du Tourisme, du Patrimoine, et de la Culture du Nouveau-Brunswick. Ce bulletin électronique informel fournira des mises à jour sur les ressources accessibles en ligne pour enseigner l'histoire du Nouveau-Brunswick aux élèves de la maternelle à la 12e année.Unknownnoreply@blogger.comBlogger30125tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-73499371181514084132017-04-18T17:09:00.001-03:002017-04-18T17:09:44.566-03:00Concours Invente un timbre du Nouveau-Brunswick 2017 ! <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6cTE0h-sg4U7EGVQJgEBWra5IS0G5YwM6bQIO5fZX2dGRhVHGfIhqNp4z3ttXM9i9ut7woWM0z5Vj06Ut3BRLwgv2OrQk3Xlk-o6CCnhaddPQ9F_3EAJYybJEyp43No3EmJ7vHL77isA/s1600/11174-ent%25C3%25AAte2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="65" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6cTE0h-sg4U7EGVQJgEBWra5IS0G5YwM6bQIO5fZX2dGRhVHGfIhqNp4z3ttXM9i9ut7woWM0z5Vj06Ut3BRLwgv2OrQk3Xlk-o6CCnhaddPQ9F_3EAJYybJEyp43No3EmJ7vHL77isA/s320/11174-ent%25C3%25AAte2.jpg" width="320" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="background: white; margin-right: 15.05pt;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Invente un timbre N.-B. retourne ! Ce concours
s’adresse aux élèves de la quatrième à la neuvième année. On a demandé à chaque élève de concevoir un timbre
qui, selon lui, représente le mieux l’histoire du Nouveau-Brunswick. Nous présentons une sélection des dessins, soumis
par des élèves de partout dans la province. </span></div>
<div class="MsoNormal" style="background: white; margin-right: 15.05pt;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="background: white; margin-right: 15.05pt;">
<span style="font-family: "Arial","sans-serif"; font-size: 12.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA;">Nous vous invitons à prendre le temps d’examiner ces œuvres des élèves -
et puis <a href="http://cyberbulletindupatrimoinenb.blogspot.ca/p/invente-un-timbre-du-nouveau-brunswick.html" target="_blank">voter pour celle que vous préférez</a>...</span><o:p></o:p></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-71077886802594003542017-03-03T16:54:00.001-04:002017-03-03T20:26:08.665-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 12 : L’équipage de ParisNOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est partie d'une série des articles préparés à l'occasion de la Semaine du patrimoine 2017. Intitulée <i>Pleins feux sur le patrimoine</i>, ce « pleins feux » présente l’histoire de <i>l’équipage de Paris</i> qui est un membre d’honneur du <a href="http://nbsportshalloffame.com/fr/" target="_blank">Temple de la renommée sportive du Nouveau-Brunswick </a>.<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixvDQYEhRF9Vc1BkgEWq-y4dF-152x2Mw8RkbJlwfU2TluxLed_NJVf5JF7P4p3gl7nCaU4NTgiTd8nSp3AkfAe6sVrjlZYZ7PlUf6CEwasGOojbuYKhJ0_jYDfWUWWy-byEhRgSkwZYY/s1600/ParisCrew.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="190" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixvDQYEhRF9Vc1BkgEWq-y4dF-152x2Mw8RkbJlwfU2TluxLed_NJVf5JF7P4p3gl7nCaU4NTgiTd8nSp3AkfAe6sVrjlZYZ7PlUf6CEwasGOojbuYKhJ0_jYDfWUWWy-byEhRgSkwZYY/s320/ParisCrew.jpg" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">L’équipage de Paris (Archives provinciales du Nouveau-Brunswick, P98/134) </td></tr>
</tbody></table>
<h3>
L’équipage de Paris</h3>
<br />
Le 8 juillet 1867, trois pêcheurs et un gardien de phare ont pris par surprise le milieu de l’aviron par leur victoire aux régates internationales de l’Exposition universelle de Paris. L’équipage était composé des rameurs George Price, Robert Fulton, Elijah Ross et Samuel Hutton, tous de Saint John (Nouveau-Brunswick). <br />
<br />
La victoire de <i>l’équipage de Paris </i>contre les meilleurs rameurs britanniques et européens a fait de ses membres des héros nationaux, et ce pendant la même semaine où le Canada est devenu un pays, suscitant ainsi un sentiment de fierté dans le nouveau pays et unissant les Canadiens. <br />
<br />
<br />
<a name='more'></a>Histoire classique de David contre Goliath, <i>l’équipage de Paris</i> a vaincu des obstacles insurmontables pour atteindre le summum de la gloire dans le milieu du sport. Les quatre rameurs, tous de souche irlandaise et de la classe ouvrière, se sont rendus à Paris grâce aux fonds recueillis par des citoyens de Saint John et du Nouveau-Brunswick. À Paris, la presse européenne a ridiculisé les Canadiens, qu’elle considérait comme des colonisés grossiers avec leur bateau mal conçu, leur mauvaise technique d’aviron et leurs costumes clownesques. Personne ne s’attendait à ce que les Canadiens gagnent… mais c’est ce qu’ils ont fait! <br />
<br />
À la surprise de tous, les Canadiens ont remporté les deux courses du championnat mondial de 1867 aux régates de Paris et ont été surnommés l’équipage de Paris. En 1868, l’équipage a également remporté le championnat de l’Amérique à Springfield, au Massachusetts, ainsi que des courses à Lachine, à Toronto et à Niagara. <i>L’équipage de Paris</i> a été intronisé au Panthéon des sports canadiens en 1956 et au Temple de la renommée sportive du Nouveau-Brunswick en 1972.<br />
<br />
Pour en savoir plus et pour voir des photos de <i>l’équipage de Paris</i>, visitez le site des membres d’honneur du Temple de la renommée sportive du Nouveau-Brunswick : <a href="http://www.honouredmembers.com/the-paris-crew-d/?lang=fr">http://www.honouredmembers.com/the-paris-crew-d/?lang=fr</a>. <br />
<br />
En plus, suivez le site web du <a href="http://nbsportshalloffame.com/fr/" target="_blank">Temple de la renommée sportive du Nouveau-Brunswick </a> pour prendre connaissance des activités qui auront lieu cet été pour commémorer <i>l’équipage de Paris</i> au Nouveau-Brunswick. Vous pouvez également les suivre sur <a href="https://www.facebook.com/NBSportsHallofFame/" target="_blank">Facebook</a> (à « Temple de la renommée sportive du Nouveau-Brunswick » ) et sur Twitter (@NBSHF).Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-39501959044996658882017-03-02T10:26:00.000-04:002017-03-02T10:26:46.152-04:00ACTIVITÉS GRATUITES LORS DU CONGÉ DE MARS 2017 AU MUSÉE ACADIEN DE L’UNIVERSITÉ DE MONCTON : BRICOLAGE LIBRE ET JEUX POUR TOUS LES ÂGES!<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijbWy2wRt_h-oRvXSlU5TCseU1ZjFb6eOkhsN1VYWUOEWj3whzESP_tCrvKIG9yhEtrlvHZruxlkhsMU12lwfOX3PZMehSjqjBPowoGwXiaGuYBvbuIBQdYG8Vu_M8a464Ha0MkYv9MEY/s1600/MAUM.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="81" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijbWy2wRt_h-oRvXSlU5TCseU1ZjFb6eOkhsN1VYWUOEWj3whzESP_tCrvKIG9yhEtrlvHZruxlkhsMU12lwfOX3PZMehSjqjBPowoGwXiaGuYBvbuIBQdYG8Vu_M8a464Ha0MkYv9MEY/s320/MAUM.jpg" width="320" /></a></div>
<br />
Moncton, le 27 février 2017 : Le Musée acadien de l'Université de Moncton vous invite à participer à divers activités, dont un bricolage libre, un jeu traditionnel acadien, un quiz par images et bien d’autres, qui auront lieu le jeudi 9 mars et le vendredi 10 mars 2017 entre 10 h et 15 h. Aucune inscription n'est requise. Les activités sont offertes gratuitement bien que les dons au Musée sont acceptés. Les activités s'adaptent à divers groupes d'âge, que vous soyez grands ou petits.<br />
<br />
Pour plus d'informations, prière de communiquer avec Renée Beaulieu au (506) 858-4088, par courriel : <a href="mailto:maum@umoncton.ca">maum@umoncton.ca</a> ou visitez l’un de nos sites en ligne : <a href="http://www.umoncton.ca/umcm-maum">www.umoncton.ca/umcm-maum</a>, Facebook (@Musée.acadien), Instagram (MuseeAcadien) et Twitter (@MAcadien).<br />
<br />
<br />
<a name='more'></a>Le Musée acadien de l'Université de Moncton est situé au 405 avenue Université dans le pavillon Clément-Cormier du campus de Moncton. Profitez de votre visite pour explorer l'exposition temporaire<b> « L’Acadie des terres et forêts : Frontières contestées & Familles retrouvées »</b> qui est en montre jusqu’au 19 mars 2017.<br />
<br />
L’horaire régulier du Musée acadien est de 13 h à 16 h 30 du mardi au vendredi et de 13 h à 16 h le samedi et dimanche.<br />
<br />
<b>ENTREVUES :</b><br />
Jeanne Mance Cormier, conservatrice<br />
(506) 858-4690<br />
<a href="mailto:jeanne-mance.cormier@umoncton.ca">jeanne-mance.cormier@umoncton.ca</a><br />
<br />
<b>INFORMATION :</b><br />
Renée Beaulieu, secrétaire administrative<br />
(506) 858-4088<br />
<a href="mailto:renee.beaulieu@umoncton.ca">renee.beaulieu@umoncton.ca</a> ou <a href="http://maum@umoncton.ca/" target="_blank">maum@umoncton.ca </a><br />
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-42589545550376509912017-02-17T14:46:00.002-04:002017-02-17T14:47:19.989-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 11 : James H. MoranNOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est partie d'une série des articles préparés à l'occasion de la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">Semaine du patrimoine 2017, qui se tiendra du 13 au 20 février</a>. Intitulée <i>Pleins feux sur le patrimoine</i>, ce « pleins feux » présente l’histoire de la figure de proue du <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span><i>Prince Victor</i> <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span> qui a été rapatriée récemment par La « Quaco Historical and Library Society » de St. Martins.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDHW8vxRL_D0lMGExXti1VmZLy5ZG0QNWLukyo8Y_FI_MZ-hDER7knHle3IC0BaNYubihZpV-HTSChtgUENDAg11W77QnIV0MQKDsuGwVcoeOn-E9mvd7eO_K1wuRmRhYSN1jx7J7DIwc/s1600/James+H.+Moran.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDHW8vxRL_D0lMGExXti1VmZLy5ZG0QNWLukyo8Y_FI_MZ-hDER7knHle3IC0BaNYubihZpV-HTSChtgUENDAg11W77QnIV0MQKDsuGwVcoeOn-E9mvd7eO_K1wuRmRhYSN1jx7J7DIwc/s200/James+H.+Moran.jpg" width="150" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">James H. Moran (1816 - 1879)<br />
« Quaco Historical and Library Society »</td></tr>
</tbody></table>
<h3>
James H. Moran <br />(1816 – 1879)</h3>
<br />
Mathias Moran a été l’un des premiers colons de St. Martins (qui s’appelait alors Quaco). Il arriva en octobre 1783 à la fin de la guerre, après la démobilisation du bataillon <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span>King’s Orange Rangers <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span>. Il reçut pour ses années de loyaux services envers le roi George III une concession de terre dont une partie, sur laquelle le chantier naval de la famille Moran se trouvait, est toujours en possession de ses descendants directs.<br />
<br />
Le fils de Mathias Moran, James Moran Senior, né en 1781, a hérité de la propriété de son père et a continué à s’adonner à l’agriculture et à construire de petits bateaux. Il a construit son premier navire en 1805. James Moran Sr est décédé en 1860 à l’âge de 79 ans. <br />
<br />
<br />
<a name='more'></a>Le fils de James Moran Sr, James Hamilton Moran, né en 1816, est resté à St. Martins et est demeuré dans le domaine de la construction navale. Son frère aîné, Robert Greer Moran, s’était déjà installé à Liverpool, en Angleterre, en 1852 pour créer la société <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 14.6667px;">« </span>Moran Galloway Shipping <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span>.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1EOsiuZ5p6NZxel_F1q3k05KZJcXI0UiSWmthtv0k6dx3exdamXoPs2uSjPFHMZr4UeJGwyFn1vGnwl5gOj3V1OhSd6Q4ScG9GKtXK6dnK7kFc1wT7bklW85s8gC5U2t1CAdA3jVOeOM/s1600/Prince+Victor+Painting.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="150" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi1EOsiuZ5p6NZxel_F1q3k05KZJcXI0UiSWmthtv0k6dx3exdamXoPs2uSjPFHMZr4UeJGwyFn1vGnwl5gOj3V1OhSd6Q4ScG9GKtXK6dnK7kFc1wT7bklW85s8gC5U2t1CAdA3jVOeOM/s200/Prince+Victor+Painting.jpg" width="200" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-size: x-small;">Le <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; text-align: start;">« </span><span style="text-align: start;">Prince Victor </span><span style="font-family: "calibri" , sans-serif; text-align: start;">»</span></span></td></tr>
</tbody></table>
James H. Moran construisit le vaisseau <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span><i>Prince Victor</i> <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span> à St. Martins en 1870. En 1874, il déménagea à Saint John pour trouver du bois de plus fortes dimensions et de la main-d’œuvre. Il a continué à construire des navires à Marsh Creek en compagnie de J. K. Dunlop, son contremaître. Il est décédé en septembre 1879 à l’âge de 62 ans.<br />
<br />
Le <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span><i>Prince Victor </i><span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 14.6667px;">»</span> a été baptisé du nom du prince Albert Victor Christian Edward, duc de Clarence et d’Avondale. Le <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span><i>Prince Victor</i> <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span> avait un tonnage au registre de 1 221 tonnes et une longueur de 188 pieds 6 pouces. Le navire a appareillé en 1870 et il a été vendu en 1887. Il s’est échoué la même année dans la rivière Severn au Royaume-Uni.<br />
<br />
La <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span>Quaco Historical and Library Society <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span> de St. Martins a rapatrié récemment la figure de proue du <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 14.6667px;">« </span><i>Prince Victor</i> <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span>. Elle se trouve désormais à moins d’un quart de mille de l’endroit où le <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span><i>Prince Victor </i><span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span> a été construit. <b>Le 17 mai 2017</b> démarque le 147ième anniversaire de son lancement.Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-17319472500799283832017-02-17T14:24:00.000-04:002017-02-17T14:38:53.558-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 10 - Féniens, Américains, Acadiens et Canadiens : les confrontations de la ConfédérationNOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est le dixième d'une série des articles préparés à l'occasion de la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">Semaine du patrimoine 2017, qui se tiendra du 13 au 20 février</a>. Intitulée <i>Pleins feux sur le patrimoine</i>, cette série nous donne une occasion de célébrer 150 ans de l’histoire, et de réfléchir au rôle du Nouveau-Brunswick dans l'établissement de la Confédération canadienne. En particulier, ce « pleins feux » est originaire de l’exposition du Musée de la région de Fredericton <i>Un bateau plein d’ennui : Le Nouveau-Brunswick et la Conféderation</i>, qui était conservée par Nathan Gavin et Caleb Goguen de STU et UNB. <br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZhiNydIjomafo7PWvhKaqSfckTCZospMYochBJxlMRW4wVfxPoU11D56f7X2J1CfaUEbmJ_iipGN8DsMsKddYj2ALA_l-2Ue1uV_ueIE-qEDSKgLc2cC6R3SazDb33F5E7kaV0jboV5c/s1600/Provincial+Archives+of+New+Brunswick+New+Brunswick+Salmon+Fishing+collection+P360-14+Young+Gordon.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZhiNydIjomafo7PWvhKaqSfckTCZospMYochBJxlMRW4wVfxPoU11D56f7X2J1CfaUEbmJ_iipGN8DsMsKddYj2ALA_l-2Ue1uV_ueIE-qEDSKgLc2cC6R3SazDb33F5E7kaV0jboV5c/s200/Provincial+Archives+of+New+Brunswick+New+Brunswick+Salmon+Fishing+collection+P360-14+Young+Gordon.jpg" width="129" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Sir Arthur Hamilton Gordon<br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">(Archives provinciales du</span><br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">Nouveau-Brunswick, P360-14)</span></td></tr>
</tbody></table>
<h3>
Féniens, Américains, Acadiens et Canadiens : les confrontations de la Confédération</h3>
Le moins que l’on puisse dire, c’est que <a href="http://cyberbulletindupatrimoinenb.blogspot.ca/2017/01/le-nouveau-brunswick-et-la-confederation.html" target="_blank">l’expérience du Nouveau-Brunswick en ce qui concerne la Confédération </a>a été houleuse. Le gouvernement responsable en étant toujours à ses balbutiements, la classe politique du Nouveau-Brunswick fera face à de nombreux obstacles avant de pouvoir se joindre à la Confédération. Avec le localisme ardent manifesté par certains et l’indignation flagrante que l’idée de toute forme d’union avec les Canadiens suscitait chez d’autres, l’entrée du Nouveau-Brunswick dans la Confédération ne sera pas de tout repos.<br />
<br />
La guerre de Sécession aux États-Unis a été parmi les facteurs qui ont eu le plus d’influence sur la Confédération en raison des menaces qu’elle renfermait. Le jeune lieutenant-gouverneur <a href="http://cyberbulletindupatrimoinenb.blogspot.ca/2017/01/pleins-feux-sur-le-patrimoine-le.html" target="_blank">Arthur Hamilton Gordon</a> arrive au Nouveau-Brunswick en 1861, juste à temps pour sa première épreuve coloniale. Moins d’un mois après avoir mis les pieds sur le continent, il est confronté à <i>l’affaire du Trent</i>. <br />
<br />
<br />
<a name='more'></a>Les Néo-Brunswickois ayant encore à la mémoire la guerre de 1812, les tensions montent à fond de train le long de la frontière de l’Amérique du Nord britannique et des États-Unis. Le 8 novembre 1861, l’<i>USS San Jacinto</i> intercepte le <i>RMS Trent</i>, un navire britannique transporteur de courrier qui faisait la traversée entre La Havane et l’Angleterre. Le <i>RMS Trent</i> est attiré dans un guet-apens dans le canal de Bahama, et l’équipage de l’<i>USS San Jacinto</i> enlève John Slidell et James Mason, deux diplomates confédérés chargés d’obtenir la reconnaissance diplomatique de la confédération.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgWKdw-4MJ6FnJ6BQyjLVMCtyFpsz_FFwMn5OuVxfJ0eOwlh6hUJilZEQE3g4Hn1tPVHt40vSUDxjk1YP_BgBQK_RHuzVTxQxTzptJmCimNoSleuWJpnlSiTHpK4o9tQxFQIs7Pg-FGO2M/s1600/trent.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="120" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgWKdw-4MJ6FnJ6BQyjLVMCtyFpsz_FFwMn5OuVxfJ0eOwlh6hUJilZEQE3g4Hn1tPVHt40vSUDxjk1YP_BgBQK_RHuzVTxQxTzptJmCimNoSleuWJpnlSiTHpK4o9tQxFQIs7Pg-FGO2M/s200/trent.jpg" width="200" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le 63e régiment britannique<br />
se prépare à partir de Saint John,<br />
« London Illustrated News »<br />
(Harriet Irving Library Archives & Special<br />
<div style="font-size: 12.8px;">
Collections, UNB)</div>
</td></tr>
</tbody></table>
Le trouble déclenché par <i>l’affaire du Trent</i> en Amérique du Nord britannique se répercute dans tout le Nouveau-Brunswick. Dès que la nouvelle se propage, plus de 10 000 officiers et hommes sont envoyés dans la province du Canada. Les troupes arrivent d’abord à Saint John, où le lieutenant-gouverneur Arthur Hamilton Gordon se charge de les héberger dans les écoles, les postes de douane, les salles et tout autre endroit où il était possible de les loger en attendant qu’elles soient transportées au Canada. <br />
<br />
Le 26 décembre 1861, les prisonniers sont relâchés et les tensions s’apaisent. La violence n’a pas explosé, mais <i>l’affaire du Trent </i>remet en question la stabilité des relations entre les États-Unis et l’Amérique du Nord britannique. Cela aura des effets défavorables sur <i>le traité de réciprocité</i>, un accord commercial signé entre les États-Unis et l’Amérique du Nord britannique en 1854. Cet accord encourageait le libre-échange entre les deux parties et accordait des droits de pêche aux Américains sur les côtes de l’Amérique du Nord britannique. <i>L’affaire du Trent </i>soulève également la question du temps de réaction de la défense du Nouveau-Brunswick, largement assurée et financée par la Couronne. À ce moment-là, Londres était tout à fait disposée à se débarrasser de la tâche coûteuse que représentait la défense de l’Amérique du Nord britannique.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoqIn1UOehOpxNl_VQzjEg9N9aspw4JVr2Ek_c9G1DoKKHMqKk686BeNnc2XQErGsopLNnDMNLYNFqwvFQMx2CSZZhApTwroEvdIvf-sBe7HRJlfEeBXtC5BfgqM95Y_kAmjPOOPuLuDE/s1600/Albert+James+Smith.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoqIn1UOehOpxNl_VQzjEg9N9aspw4JVr2Ek_c9G1DoKKHMqKk686BeNnc2XQErGsopLNnDMNLYNFqwvFQMx2CSZZhApTwroEvdIvf-sBe7HRJlfEeBXtC5BfgqM95Y_kAmjPOOPuLuDE/s200/Albert+James+Smith.jpg" width="131" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Sir Albert James Smith<br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">(Musée du Nouveau-Brunswick,</span><br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">X10120)</span></td></tr>
</tbody></table>
Alors que le Nouveau-Brunswick commence peu à peu à se rallier à la Confédération, une force d’opposition augmente en guise de représailles. Le chef du Parti anti-confédération et député du comté de Westmorland, <a href="http://cyberbulletindupatrimoinenb.blogspot.ca/2017/01/pleins-feux-sur-le-patrimoine-no-3-sir.html" target="_blank">Albert James Smith</a>, est d’avis que la Confédération sera horrible pour les Néo-Brunswickois. Il est soutenu par un groupe de gens qui sont plus qu’habitués à vivre sous un gouvernement anglais largement indifférent et qui s’opposent avec fougue à l’idée d’avoir au-dessus d’eux un autre niveau d’hommes politiques anglais, les Acadiens. <br />
<br />
Dès le début, la population acadienne est contre la Confédération et ses nobles promesses. En plus de se méfier des manigances des Canadiens, elle ne fait pas confiance aux promesses de Samuel Leonard Tilley, notamment le projet de chemin de fer Intercolonial et son parcours ambigu à travers la province. Sachant que le chemin de fer éviterait probablement complètement la côte nord pour passer près de Saint John, le centre économique, et de Fredericton, la capitale, les Acadiens ont de la difficulté à croire au bien-fondé de la Confédération.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim8_Ob4j1D1dVKUjfes5Qv2ProuudACLZTCOpc4lQK7RFmaZWO7O_MyvmrSGfMMgSuGYbDUFaiP4DnS_kFBo4kiVQ7m8VpcCAZh3k6e5FbWQj3dYNh4WEhdDm33_eluLHGpqSCSFzWsWE/s1600/Samuel_Leonard_Tilley_standing.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim8_Ob4j1D1dVKUjfes5Qv2ProuudACLZTCOpc4lQK7RFmaZWO7O_MyvmrSGfMMgSuGYbDUFaiP4DnS_kFBo4kiVQ7m8VpcCAZh3k6e5FbWQj3dYNh4WEhdDm33_eluLHGpqSCSFzWsWE/s200/Samuel_Leonard_Tilley_standing.jpg" width="151" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Sir Samuel Leonard Tilley<br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">(Bibliothèque et Archives </span><br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">nationales du Québec,</span><br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">P1000,S4,D21,P24)</span></td></tr>
</tbody></table>
Lorsque <a href="http://cyberbulletindupatrimoinenb.blogspot.ca/2017/01/pleins-feux-sur-le-patrimoine-no-2-sir.html" target="_blank">Samuel Leonard Tilley</a> revient avec les <i>résolutions de la Conférence de Québec</i>, la population acadienne est certaine que la Confédération ne lui réserve rien de bon. Les garanties obtenues par le Haut-Canada et le Bas-Canada comprennent la protection des écoles religieuses minoritaires. Les catholiques du Haut-Canada et les anglicans du Bas-Canada sont protégés, mais la même garantie n'est pas accordée aux catholiques du Nouveau-Brunswick. <br />
<br />
Tilley annonce une élection en 1865, faisant ainsi du Nouveau-Brunswick la seule province à avoir eu l’occasion de voter sur la question de savoir si la Confédération valait l’encre et le papier. Les résultats ne sont clairement pas bons pour Tilley. Albert James Smith et son équipe disparate de politiciens opposés au projet de Confédération prennent le pouvoir à l’Assemblée législative et mettent un frein au projet. L’équipe réunissait ceux qui étaient ardemment opposés à la Confédération et ceux qui l’appuyaient tièdement, mais qui avaient des doutes sur <i>les résolutions de la Conférence de Québec</i>.<br />
<br />
Le parti de Smith commence à péricliter presque immédiatement. Les Américains se sont aperçus qu’ils profitaient moins du <i>traité de réciprocité </i>et l’abrogent rapidement. C’est le premier de nombreux coups fatals qui seront portés au projet anti-Confédération de Smith. Puisque la Confédération allait favoriser le commerce entre l’Est et l’Ouest à l’intérieur de l’Amérique du Nord britannique, Albert James Smith est conscient de l’importance de maintenir le <i>traité de réciprocité</i>. Sa tentative de le renouveler échoue, et il fait face peu après à un autre obstacle, la confrérie des féniens.<br />
<br />
Le terme « fénien » est un dérivé du mot <i>Finna</i> qui désigne un groupe important de guerriers mythologiques dans la culture irlandaise. Le principal objectif des féniens était d’obtenir l’indépendance de l’Irlande face à la Grande-Bretagne. La confrérie des féniens estimait qu’en s’emparant d’une partie de l’Amérique du Nord britannique, elle obtiendrait un pouvoir de négociation. Le nombre de féniens grandissait en Amérique du Nord ainsi que leur influence. En 1865, la confrérie dispose d’environ 10 000 anciens combattants de la guerre de Sécession et de 500 000 $ et se dirige vers l’île Campobello. <br />
<br />
Afin d’éviter d’éveiller des soupçons, la confrérie avait envoyé ses armes à Eastport, dans le Maine, dans un navire séparé, l’<span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span><i>Ocean Spray </i><span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span>. Arrivés quelques semaines avant l’événement, les nombreux féniens postés tout près de l’île Campobello effraient les Néo-Brunswickois et remettent en cause la trêve instable entre l’Amérique du Nord britannique et les États-Unis. Quand les autorités américaines mettent enfin un terme à la situation, la menace est déjà en grande partie écartée. Cela dit, il y a quand même eu une tentative d’invasion. Les féniens ont réussi à mettre le feu à quelques piles de bois et à s’emparer d’un drapeau britannique.<br />
<br />
Du côté du Nouveau-Brunswick, l’événement suscite tout un chahut à l’Assemblée législative. La population catholique, par peur d’être mise dans le même panier que les insurgés féniens, change rapidement d’idée au sujet de la Confédération. <br />
<br />
Craignant l’absence de défense, ceux qui s’abstenaient de prendre position sur la question sont poussés à opter pour la Confédération. Les <i>résolutions de la Conférence de Québec</i> promettent entre autres une force militaire centralisée, financée et maintenue par le gouvernement fédéral. Smith est forcé de tenir une autre élection, qu’il perd vite contre la coalition partisane de la Confédération. <br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEja4uUBpx_D-4BGmj_eoodlCq5rvrDh_9Z_-BydIhNCFDyfx_T_wDTEe7eL-yr77B6Ybpo9KZTj_pDnbYO7EFuFZ-JSBOpSo7-uxdtDgCGXBdN4STJyAl8hMSOxtrJgy5wZDomR02bZuXQ/s1600/Peter+Mitchell.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEja4uUBpx_D-4BGmj_eoodlCq5rvrDh_9Z_-BydIhNCFDyfx_T_wDTEe7eL-yr77B6Ybpo9KZTj_pDnbYO7EFuFZ-JSBOpSo7-uxdtDgCGXBdN4STJyAl8hMSOxtrJgy5wZDomR02bZuXQ/s200/Peter+Mitchell.jpg" width="130" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Peter Mitchell<br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: 10.56px;">(Musée du Nouveau-Brunswick,</span><br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">X10202)</span></td></tr>
</tbody></table>
<a href="http://cyberbulletindupatrimoinenb.blogspot.ca/2017/01/pleins-feux-sur-le-patrimoine-no-4.html" target="_blank">Peter Mitchell</a> prend les rênes, et le Nouveau-Brunswick adopte la Confédération sans aucun accroc, devenant l’une des premières provinces à l’intégrer. Comme le craignaient les Néo-Brunswickois anglophones, leurs inquiétudes et présomptions concernant le parcours du chemin de fer Intercolonial se réalisent. Celui-ci favorise les Acadiens et suit la côte nord, restant aussi loin que possible de la frontière américaine. <br />
<br />
Pour en savoir plus sur l’agitation qui a entouré la Confédération et les événements qui y ont mené ou qui l’ont menacée, vous pouvez visiter l’exposition du Musée de la région de Fredericton, intitulée <i>Un bateau plein d’ennui </i>et lire <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span>Turning Back the Fenians <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span>, de Robert Dallison, et <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">« </span>The Road to Canada <span style="font-family: "calibri" , sans-serif; font-size: 11pt;">»</span>, de Gary Campbell.<br />
<br />
<br />Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-9396326898846842632017-02-10T17:06:00.001-04:002017-02-10T17:12:10.376-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 9 : La Renaissance acadienne - Auguste Renaud<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWgClgUwWlmztp6sIL3QEeNLCtP2gaXqyn4QOAk6d3QJb-00xokvulrCF5N93yG9FMy4m2Y3L61dgfheFIeLWc0O78Neqjq44Wqrz8vBwUf3f00zQYIRGLKKqD-9wI9Cs8IdBoTnAcBxw/s1600/AugusteRenaud23.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="189" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWgClgUwWlmztp6sIL3QEeNLCtP2gaXqyn4QOAk6d3QJb-00xokvulrCF5N93yG9FMy4m2Y3L61dgfheFIeLWc0O78Neqjq44Wqrz8vBwUf3f00zQYIRGLKKqD-9wI9Cs8IdBoTnAcBxw/s200/AugusteRenaud23.jpg" width="200" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Auguste Renaud<br />
(Bibliothèque et Archives Canada)</td></tr>
</tbody></table>
NOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est le neuvième d'une série des articles préparés à l'occasion de la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">Semaine du patrimoine 2017, qui se tiendra du 13 au 20 février.</a> Intitulée <i>Pleins feux sur le patrimoine</i>, cette série nous donne une occasion de célébrer 150 ans de l’histoire, et de réfléchir au rôle du Nouveau-Brunswick dans l'établissement de la Confédération canadienne.<br />
<br />
<h3>
Auguste Renaud</h3>
<br />
Né à Bordeaux, en France, Auguste Renaud déménage à Bouctouche, avec sa famille, au milieu du XIXe siècle. M. Renaud devient agriculteur et épouse Cécile Léger en 1862.<br />
<br />
Auguste Renaud représente le comté de Kent au premier Parlement du Canada en 1867. Il est élu en tant que représentant libéral le 20 septembre. Il est le premier francophone des Maritimes à obtenir un siège au Parlement.<br />
<br />
M. Renaud se présente de nouveau aux élections en 1872 et est défait par Robert Barry Cutler. Il subit une autre défaite en 1874, et se retire de la scène politique pour assumer la fonction de percepteur adjoint du revenu de l’intérieur à Bouctouche. Il décède en 1897 et est inhumé à Fond-de-la-Baie.Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-39435489374463873402017-02-10T17:02:00.000-04:002017-02-10T17:11:12.658-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 8 : La Renaissance acadienne - Amand Landry<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9hGMkGBicu4ZH1J-yCQSXxAkE2KV1kikBmbMcdm0y4SnJjLuusB29mnP_pdfdz0gTfyOaLbSD_OrnzMKOR_V3X6cs4P-grUsY9W8atrCCMXOVFgZjTm_I13TvjcBEU4Q9rlYefwWKYPk/s1600/Landry%252C+Amand+1894_MAUM.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9hGMkGBicu4ZH1J-yCQSXxAkE2KV1kikBmbMcdm0y4SnJjLuusB29mnP_pdfdz0gTfyOaLbSD_OrnzMKOR_V3X6cs4P-grUsY9W8atrCCMXOVFgZjTm_I13TvjcBEU4Q9rlYefwWKYPk/s200/Landry%252C+Amand+1894_MAUM.jpg" width="133" /></a></div>
NOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est le huitième d'une série des articles préparés à l'occasion de la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">Semaine du patrimoine 2017, qui se tiendra du 13 au 20 février</a>. Intitulée Pleins feux sur le patrimoine, cette série nous donne une occasion de célébrer 150 ans de l’histoire, et de réfléchir au rôle du Nouveau-Brunswick dans l'établissement de la Confédération canadienne.<br />
<br />
<h3>
Amand Landry</h3>
<br />
Né à Memramcook, Amand Landry était un agriculteur, un enseignant et un pilier de la communauté. M. Landry a été l’un des premiers hommes politiques acadiens sur la scène provinciale au Nouveau-Brunswick. Il est élu à l’Assemblée législative en 1846, en tant que représentant du comté de Westmorland. Il perd son siège en 1850, pour le reprendre en 1853. Il remporte un siège en 1861 et demeure à l’Assemblée législative jusqu’en 1870.<br />
<br />
Amand Landry a mis en lumière les idées et les préoccupations du peuple acadien au sujet de la Confédération. Il a fait valoir que la Confédération ne profiterait pas aux Acadiens, et que tous les chemins de fer que l’on promettait étaient des projets qu’ils ne verraient jamais se réaliser et pour lesquels ils devraient néanmoins payer. En outre, ils craignaient d’être gouvernés par un deuxième groupe de politiciens anglais et, en fait, de perdre la modeste voix qu’ils avaient. Après la défaite du gouvernement anti-confédération d’Albert James Smith, Amand Landry a conservé son siège jusqu’en 1870, parmi les huit députés anti-confédération réélus en 1865.Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-73697308711215665452017-02-10T16:58:00.000-04:002017-02-10T20:22:35.947-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 7 : La Renaissance acadienne au Nouveau-Brunswick<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggbQxwA3jHVlfDThaBPVWGAb47zmhtUxccfIQewSxjnLGA8EvchkiTsvDh9bCIBlBmeQf1QOIEAeiPGgv-zk0rZZ05j2QUn8OXxnARnqJu2Km3TNNUfPR03FohHu7hFTjK4UMVSjxbopk/s1600/Israel_Landry.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEggbQxwA3jHVlfDThaBPVWGAb47zmhtUxccfIQewSxjnLGA8EvchkiTsvDh9bCIBlBmeQf1QOIEAeiPGgv-zk0rZZ05j2QUn8OXxnARnqJu2Km3TNNUfPR03FohHu7hFTjK4UMVSjxbopk/s200/Israel_Landry.jpg" width="140" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="text-align: start;"><span style="font-size: x-small;">Israël Landry</span></span><br />
<div style="font-size: 12.8px;">
(<span style="font-family: inherit;">Le Moniteur Ac</span>adien, 1892)</div>
</td></tr>
</tbody></table>
NOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est le septième d'une série des articles préparés à l'occasion de la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">Semaine du patrimoine 2017, qui se tiendra du 13 au 20 février</a>. Intitulée <i>Pleins feux sur le patrimoine</i>, cette série nous donne une occasion de célébrer 150 ans de l’histoire, et de réfléchir au rôle du Nouveau-Brunswick dans l'établissement de la Confédération canadienne.<br />
<br />
<br />
<h3>
La Renaissance acadienne au Nouveau-Brunswick</h3>
<br />
La Confédération est marquée par la renaissance de l’identité culturelle, économique et politique acadienne grâce à divers médias. Des journaux <br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFHgtUY5DQ_07ti26e-FLjpwC4IR5x5gEUQUJRPYHAuP1Z13fYbR-IUChx9UpQKtpRNmjTIfN5VN7WBOaTn8CSo6ZD1kNoy0xPEqOC-K_bDeQ5Us_xIEBcmYjr7BR2qqmUpVeFZy1rt3A/s1600/220px-Valentin_Landry.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFHgtUY5DQ_07ti26e-FLjpwC4IR5x5gEUQUJRPYHAuP1Z13fYbR-IUChx9UpQKtpRNmjTIfN5VN7WBOaTn8CSo6ZD1kNoy0xPEqOC-K_bDeQ5Us_xIEBcmYjr7BR2qqmUpVeFZy1rt3A/s200/220px-Valentin_Landry.jpg" width="154" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Valentin Landry<br />
(Centre d'études acadiennes <br />
de l'Université de Moncton) </td></tr>
</tbody></table>
aux sièges parlementaires, la « Renaissance acadienne » constitue un tournant de l’histoire de l’Acadie et contribue grandement à l’édification du Nouveau-Brunswick tel qu’on le connaît aujourd’hui. <br />
<br />
1867 marque l’une des premières étapes importantes pour la population acadienne du Nouveau-Brunswick. C’est l’année quand <i>Le Moniteur acadien</i>, publié à Shediac par <a href="http://www.biographi.ca/fr/bio/landry_israel_j_d_13E.html" target="_blank">Israël Landry</a>, est devenu le premier journal de langue française dans la région atlantique. Suivra <i>L’Évangéline</i>, publié en 1887 par <a href="http://www.biographi.ca/fr/bio/landry_valentin_14E.html" target="_blank">Valentin Landry</a> (de Pokemouche), qui sera un pilier de la culture acadienne durant près de 100 ans. <br />
<br />
La Confédération et les promesses subséquentes provoquent des perturbations importantes dans les communautés acadiennes de la province. La Confédération promet des chemins de fer (qui pourraient contourner toutes les communautés acadiennes), un deuxième ordre de gouvernement supérieur au sein duquel les Acadiens seront pour ainsi dire être absents, et des écoles laïques. <br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9hGMkGBicu4ZH1J-yCQSXxAkE2KV1kikBmbMcdm0y4SnJjLuusB29mnP_pdfdz0gTfyOaLbSD_OrnzMKOR_V3X6cs4P-grUsY9W8atrCCMXOVFgZjTm_I13TvjcBEU4Q9rlYefwWKYPk/s1600/Landry%252C+Amand+1894_MAUM.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9hGMkGBicu4ZH1J-yCQSXxAkE2KV1kikBmbMcdm0y4SnJjLuusB29mnP_pdfdz0gTfyOaLbSD_OrnzMKOR_V3X6cs4P-grUsY9W8atrCCMXOVFgZjTm_I13TvjcBEU4Q9rlYefwWKYPk/s200/Landry%252C+Amand+1894_MAUM.jpg" width="133" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Amand Landry</td></tr>
</tbody></table>
L’opposition acadienne à la Confédération n’était pas sans fondement. De nombreux projets promis par la Confédération des provinces de l’Amérique du Nord britannique n’avaient pratiquement aucun effet sur les communautés acadiennes. <a href="http://www.biographi.ca/fr/bio/landry_amand_10F.html" target="_blank">Amand Landry</a>, l’une des premières personnalités politiques acadiennes d’envergure, comprend ces préoccupations et devient un porte-étendard des questions acadiennes durant les élections sur la Confédération. Il s’oppose tout particulièrement à un projet de chemin de fer au sud de la province, entre Saint Andrews et Woodstock, parce qu’il n’apporte rien aux Acadiens qui habitaient dans le nord. Albert James Smith se sert de ce mécontentement et gagne la confiance des Acadiens avec son mouvement d’opposition à la Confédération. <br />
<br />
<a name='more'></a><br />
<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWgClgUwWlmztp6sIL3QEeNLCtP2gaXqyn4QOAk6d3QJb-00xokvulrCF5N93yG9FMy4m2Y3L61dgfheFIeLWc0O78Neqjq44Wqrz8vBwUf3f00zQYIRGLKKqD-9wI9Cs8IdBoTnAcBxw/s1600/AugusteRenaud23.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="189" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWgClgUwWlmztp6sIL3QEeNLCtP2gaXqyn4QOAk6d3QJb-00xokvulrCF5N93yG9FMy4m2Y3L61dgfheFIeLWc0O78Neqjq44Wqrz8vBwUf3f00zQYIRGLKKqD-9wI9Cs8IdBoTnAcBxw/s200/AugusteRenaud23.jpg" width="200" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Auguste Renaud<br />
(Bibliothèque et Archives Canada)</td></tr>
</tbody></table>
Alors que de nombreux groupes initialement opposés à la Confédération finiront par changer d’avis, la population acadienne s’opposera systématiquement à cette union. Bien que la Confédération menace d’entraîner la mort lente de l’action politique et de la culture acadiennes, elle crée une plateforme qui permet l’émergence de nouveaux politiciens acadiens. <b>Auguste Renaud</b> est l’un d’eux. En 1867 il est le premier acadien à devenir député fédéral et à siéger au premier Parlement canadien. <br />
<br />
C’est au cours de cette période aussi que la <i>Loi scolaire de 1871 </i>est mise en œuvre. En résumé, la Loi prive l’église du financement scolaire qu’il recevait et institue les écoles publiques financées par le gouvernement. Ces écoles publiques sont pour la plupart de langue anglaise, et même Il y a bien quelques écoles de langue française, ses écoles ne reçoivent pas le même niveau de financement. La nouvelle loi scolaire est accompagnée d’une taxe que tous les Néo-Brunswickois ont l’obligation de payer.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLokA_VlDl7joIRyPnvK4ZXkVSJYh0KRb3-MN_qpIRyNa044lmmwh10HuiBydkEdPdBaAcZ78N5s2Z53-Dt8lcJOJvgzKDvXlsEgZ4Rjc47yNHAw676sOhB_zrxPcM2WYE4T11KP2rz6I/s1600/800px-Monument_Hommage_aux_patriotes.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLokA_VlDl7joIRyPnvK4ZXkVSJYh0KRb3-MN_qpIRyNa044lmmwh10HuiBydkEdPdBaAcZ78N5s2Z53-Dt8lcJOJvgzKDvXlsEgZ4Rjc47yNHAw676sOhB_zrxPcM2WYE4T11KP2rz6I/s200/800px-Monument_Hommage_aux_patriotes.JPG" width="149" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Monument <br />Hommage aux patriotes<br />Caraquet (N.-B.)</td></tr>
</tbody></table>
Les tensions atteignent un point culminant en janvier 1875, quand à Caraquet le Député Robert Young réunit un groupe de milice, appelé « Young’s Army », qui accompagne les agents de police de la région pour calmer les manifestations. Le groupe de milice se rend chez André Albert à Caraquet, où 14 jeunes adultes jouent aux cartes dans le grenier. La milice entre pour disperser les jeunes, mais tirent des coups de feu au plafond avant de monter au grenier. Puis, un court échange mène à la mort du policier John Gifford et à celle du jeune Louis Mailloux. À la suite de l’événement, des concessions sont accordées à l’Église catholique et la <i>Loi scolaire de 1871</i> est modifiée pour mieux répondre à ses besoins scolaires des Acadiens au Nouveau-Brunswick. Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-60954257416331839762017-02-03T16:49:00.000-04:002017-02-07T10:05:53.707-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 6 : Lalia Annie Laura Halfkenny<div style="text-align: left;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdvhtiaq0kazwiBQXNTfA2H76zgHEGrq_0_YRuPTbnmsapNHX8VoeZ_Cw4KguMKS_gkLppnTgjE5djqGyjy4mt5EY6rN06ES13K8EJlCnpT8V5Xau8-frt805IbFI6ON_I_Absfhj-a0g/s1600/Lalia+for+Mary.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjdvhtiaq0kazwiBQXNTfA2H76zgHEGrq_0_YRuPTbnmsapNHX8VoeZ_Cw4KguMKS_gkLppnTgjE5djqGyjy4mt5EY6rN06ES13K8EJlCnpT8V5Xau8-frt805IbFI6ON_I_Absfhj-a0g/s200/Lalia+for+Mary.jpg" width="132" /></a></div>
NOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est un résumé de la recherche de Jennifer Harris, qui a été publiée dans le journal <i><a href="https://journals.lib.unb.ca/index.php/Acadiensis/article/view/20067" target="_blank">Acadiensis</a></i> en 2012.<br />
<br />
<h3>
Lalia Annie Laura Halfkenny</h3>
Lalia Halfkenny est née à Dorchester au Nouveau-Brunswick. Son foyer, en plus d’elle-même, se compose de sa mère de 18 ans, de sa grand-mère qui est veuve et de cinq frères et sœurs de sa mère. En 1885, Lalia entre à l’« Acadia Ladies Seminary », à Wolfville en Nouvelle-Écosse, pour une année préparatoire .<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6oplxn-YLedXjVX8GsYXwS-2WihR4z4i63yJ9XJQXNrYWYIfyPUfa659MHRdiVKNjVijpZL4qEu4VILumARayoMfwzOWL-zkfSBOJdylz42ZwRJwfiP85D9ksB_n84-sOQkibsOuJDIk/s1600/X15514.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="119" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh6oplxn-YLedXjVX8GsYXwS-2WihR4z4i63yJ9XJQXNrYWYIfyPUfa659MHRdiVKNjVijpZL4qEu4VILumARayoMfwzOWL-zkfSBOJdylz42ZwRJwfiP85D9ksB_n84-sOQkibsOuJDIk/s200/X15514.jpg" width="200" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><div style="font-size: 12.8px;">
<span style="font-size: small; text-align: start;">« </span>Acadia Ladies Seminary »</div>
<div style="font-size: 12.8px;">
Wolfville (N-É)</div>
<div style="font-size: 12.8px;">
<span style="font-size: 12.8px;">(Mus</span>ée du Nouveau-Brunswick,</div>
<div style="font-size: 12.8px;">
X15514)</div>
</td></tr>
</tbody></table>
Lors de sa dernière année d’études, Lalia est l’une des meilleures étudiantes du séminaire, où elle apprend la littérature anglaise et la diction. Elle obtient son diplôme du séminaire en 1889 et devient la première femme noire diplômée d’un établissement postsecondaire dans la région. <br />
<br />
Lalia déménage à Richmond, en Virginie, où elle amorce sa carrière de professeure d’anglais et de diction au « Hartshorn Memorial College ». Les normes pédagogiques de ce collège sont parmi les plus élevées au pays et certains de ses étudiants, noirs ou blancs, comptent parmi les meilleurs du début du XXe siècle. Il est bien plus facile pour Lalia de trouver un emploi dans les États du Sud que dans son pays d’origine. À cette époque, les habitants des Maritimes sont très hésitants à l’idée de laisser des résidents noirs fréquenter des écoles secondaires et postsecondaires, sans parler de leur enseigner. Les enseignants noirs enseignent dans des écoles primaires pour les Noirs, qui souvent ne disposent pas de ressources suffisantes.<br />
<br />
<br />
<a name='more'></a>Jennifer Harris souligne, à la fin de son article intitulé « Ushered into the Kitchen: Lalia Halfkenny, Instructor of English and Elocution at the 19th-Century African American Women’s College », qu’en ce qui concerne les conséquences du départ des universitaires noirs des Maritimes, « ce retrait de la communauté des Maritimes aggrave la tendance de l’époque de voir ces universitaires noirs comme des cas isolés. De nos jours, nous nous souvenons plutôt d’eux comme de personnes qui ont été des précurseurs de progrès ou qui se sont distinguées, au lieu d’être des agents actifs, dans l’histoire de la région ». [traduction]<br />
<br />
L’article fait ensuite ressortir le contraste entre Lalia Halfkenny et Tillie Winslow (la première Canadienne noire à obtenir un diplôme de l’UNB). Jennifer Harris précise qu’on se souvient de Tillie Winslow et qu’on célèbre ses réussites, alors que Lalia Halfkenny n’a pas fait l’objet d’autant d’éloges parce qu’elle n’a pas maintenu de liens avec la province comme l’a fait Tillie Winslow. Elle mentionne toutefois qu’il ne s’agit pas de minimiser l’importance des réalisations de ces deux femmes, mais bien de montrer qu’elles ont été de véritables pionnières et qu’on devrait considérer ce qu’elles ont accompli dans le contexte plus large du sens même de ces « premières ».<br />
<br />
Jennifer Harris, “‘Ushered into the Kitchen’: Lalia Halfkenny, Instructor of English<br />
and Elocution at a 19th-Century African American Women’s College,” <i>Acadiensis</i><br />
XLI, no. 2 (Summer/Autumn 2012): 45-65.Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-42361862215661299852017-02-03T16:13:00.000-04:002017-02-03T16:13:20.024-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 5 : Mois de l’histoire des Noirs au Nouveau-BrunswickEn ce début du Mois de l’histoire des Noirs, nous avons jugé le moment opportun pour nous rappeler les éminents Noirs du Nouveau-Brunswick qui ont contribué à façonner notre province et notre pays. Nous avons donc décidé de vous présenter quelques unes de ces personnalités, dont on peut lire la biographie sur le site Web de la <b>«<a href="https://www.blogger.com/En%20ce%20d%C3%A9but%20du%20Mois%20de%20l%E2%80%99histoire%20des%20Noirs,%20nous%20avons%20jug%C3%A9%20le%20moment%20opportun%20pour%20nous%20rappeler%20les%20%C3%A9minents%20Noirs%20du%20Nouveau-Brunswick%20qui%20ont%20contribu%C3%A9%20%C3%A0%20fa%C3%A7onner%20notre%20province%20et%20notre%20pays.%20Nous%20avons%20donc%20d%C3%A9cid%C3%A9%20de%20vous%20pr%C3%A9senter%20quelques%20unes%20de%20ces%20personnalit%C3%A9s,%20dont%20on%20peut%20lire%20la%20biographie%20sur%20le%20site%20Web%20de%20la%20%C2%AB%20New%20Brunswick%20Black%20History%20Society%20(NBBHS)%20%C2%BB.%20Pour%20en%20savoir%20plus%20sur%20les%20personnes%20mentionn%C3%A9es%20dans%20le%20pr%C3%A9sent%20article,%20consultez%20le%20site%20Web%20de%20la%20NBBHS%20:%20http://www.nbblackhistorysociety.org/%20(en%20anglais%20seulement).%20%20%20%20%20Betty%20Riley%20%20Diffus%C3%A9e%20dans%20les%20ann%C3%A9es%201970,%20%C2%AB%20Black%20Is%20%C2%BB%20%C3%A9tait%20la%20premi%C3%A8re%20%C3%A9mission%20de%20t%C3%A9l%C3%A9vision%20canadienne%20pour%20laquelle%20seules%20des%20personnes%20noires%20ont%20%C3%A9t%C3%A9%20embauch%C3%A9es.%20Cette%20%C3%A9mission%20%C3%A9tait%20produite%20et%20r%C3%A9alis%C3%A9e%20par%20Mme%20Betty%20Riley,%20qui,%20%C3%A0%20l%E2%80%99%C3%A9poque,%20%C3%A9tait%20l%E2%80%99une%20des%20premi%C3%A8res%20Noires%20%C3%A0%20travailler%20comme%20r%C3%A9alisatrice.%20Son%20%C3%A9mission%20pouvait%20%C3%AAtre%20per%C3%A7ue%20comme%20une%20riposte%20%C3%A0%20la%20fa%C3%A7on%20dont%20on%20traitait%20des%20enjeux%20des%20Noirs%20%C3%A0%20la%20t%C3%A9l%C3%A9vision%20%C3%A0%20l%E2%80%99%C3%A9poque.%20Dans%20un%20article%20de%20presse%20de%201973,%20Mme%20Riley%20a%20fait%20valoir%20que%20la%20plupart%20des%20productions%20t%C3%A9l%C3%A9visuelles%20qui%20abordaient%20le%20sujet%20%C3%A9taient%20%C3%A9crites%20par%20des%20Blancs.%20Selon%20elle,%20si%20l%E2%80%99on%20voulait%20traiter%20des%20enjeux%20des%20Noirs,%20il%20fallait%20que%20ces%20%C3%A9missions%20soient%20r%C3%A9alis%C3%A9es%20par%20des%20Noirs.%20%20%20%20%20Fred%20Hodges%20%20Fred%20Hodges%20a%20commenc%C3%A9%20%C3%A0%20travailler%20comme%20manutentionnaire%20de%20fret%20%C3%A0%20la%20Compagnie%20de%20chemin%20de%20fer%20Canadien%20Pacifique%20en%201940.%20En%201947,%20il%20est%20devenu%20le%20premier%20membre%20noir%20du%20Syndicat%20des%20transports-communication,%20qui%20s%E2%80%99appelait%20%C3%A0%20l%E2%80%99%C3%A9poque%20la%20Fraternit%C3%A9%20des%20commis%20de%20chemins%20de%20fer,%20de%20lignes%20a%C3%A9riennes%20et%20de%20navigation,%20manutentionnaires%20de%20fret,%20employ%C3%A9s%20de%20messageries%20et%20de%20gares.%20Par%20la%20suite,%20il%20s%E2%80%99est%20joint%20%C3%A0%20plusieurs%20autres%20groupes,%20dont%20la%20F%C3%A9d%C3%A9ration%20du%20travail%20du%20Nouveau-Brunswick,%20l%E2%80%99association%20du%20Nouveau-Brunswick%20pour%20l%E2%80%99avancement%20des%20gens%20de%20couleur,%20la%20commission%20des%20relations%20industrielles%20du%20Nouveau-Brunswick%20et%20le%20conseil%20du%20travail%20de%20Saint%20John.%20Fred%20Hodges%20est%20le%20premier%20Noir%20au%20Nouveau-Brunswick%20%C3%A0%20avoir%20occup%C3%A9%20un%20poste%20de%20conseiller%20municipal%20%C3%A0%20Saint%20John%20en%201974.%20%20%20%20%20%20%20%20Mary%20Matilda%20(Tilly)%20Winslow%20%20En%201905,%20Tilly%20Winslow,%20originaire%20de%20Woodstock%20au%20Nouveau-Brunswick,%20est%20devenue%20la%20premi%C3%A8re%20Noire%20%C3%A0%20qui%20l%E2%80%99Universit%C3%A9%20du%20Nouveau-Brunswick%20d%C3%A9cernait%20un%20dipl%C3%B4me.%20Elle%20a%20obtenu%20un%20baccalaur%C3%A9at%20%C3%A8s%20arts%20en%20%C3%A9tudes%20classiques%20avec%20mention,%20en%20plus%20de%20remporter%20le%20prix%20d%E2%80%99excellence%20Montgomery-Campbell.%20%20%20Elle%20est%20ensuite%20all%C3%A9e%20enseigner%20%C3%A0%20Halifax%20avant%20de%20d%C3%A9m%C3%A9nager%20aux%20%C3%89tats%20Unis,%20o%C3%B9%20elle%20a%20occup%C3%A9%20le%20poste%20de%20doyenne%20de%20l%E2%80%99%C3%A9cole%20normale%20du%20Central%20College%20dans%20l%E2%80%99%C3%89tat%20de%20l%E2%80%99Alabama.%20%20%20%20Hartley%20Theodore%20Gosline%20%20Le%204%20juin%201969,%20Hartley%20Gosline,%20de%20Saint%20John%20au%20Nouveau-Brunswick,%20commen%C3%A7ait%20sa%20formation%20%C3%A0%20la%20Division%20D%C3%A9p%C3%B4t,%20%C3%A0%20Regina%20en%20Saskatchewan.%20Il%20deviendra%20le%20premier%20membre%20noir%20de%20la%20GRC.%20%20L%E2%80%99agent%20Gosline%20a%20particip%C3%A9%20%C3%A0%20diverses%20missions%20partout%20dans%20la%20province%20avant%20de%20d%C3%A9laisser%20l%E2%80%99uniforme%20en%201978%20pour%20lancer%20sa%20propre%20agence%20de%20d%C3%A9tectives%20priv%C3%A9s.%20Il%20est%20ensuite%20devenu%20enqu%C3%AAteur%20sur%20les%20fraudes%20%C3%A0%20D%C3%A9veloppement%20des%20ressources%20humaines%20Canada.%20%20%20%20Il%20ne%20s%E2%80%99agit%20l%C3%A0%20que%20de%20quelques-unes%20des%20nombreuses%20personnes%20noires%20au%20Nouveau-Brunswick%20mises%20en%20valeur%20par%20la%20%C2%AB%20New%20Brunswick%20Black%20History%20Society%20%C2%BB%20et%20qui%20ont%20contribu%C3%A9%20%C3%A0%20fa%C3%A7onner%20la%20province%20que%20l%E2%80%99on%20conna%C3%AEt%20aujourd%E2%80%99hui.%20Bon%20nombre%20de%20ces%20personnes%20ne%20sont%20pas%20que%20des%20pionni%C3%A8res%20au%20Nouveau-Brunswick,%20mais%20au%20Canada%20%C3%A9galement." target="_blank"> New Brunswick Black History Society (NBBHS)</a> ».</b> Pour en savoir plus sur les personnes mentionnées dans le présent article, consultez le site Web de la NBBHS : <a href="http://www.nbblackhistorysociety.org/">http://www.nbblackhistorysociety.org/</a> (en anglais seulement). <br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSXQOv-0xiTA4q8xSwyNBLo42RH4J0Rz6O5j5EdcK3jqGKtSxvELfHhkRtYYiZoLnMrZc2KUKCUP-p3nsLPo3tO_xaM_VTTf_S-ZYhm2RUJWwAxy1TGphAOQ1zmoKckBrtIQ6DB5QV-3A/s1600/Riley.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhSXQOv-0xiTA4q8xSwyNBLo42RH4J0Rz6O5j5EdcK3jqGKtSxvELfHhkRtYYiZoLnMrZc2KUKCUP-p3nsLPo3tO_xaM_VTTf_S-ZYhm2RUJWwAxy1TGphAOQ1zmoKckBrtIQ6DB5QV-3A/s200/Riley.png" width="144" /></a></div>
<h3>
Betty Riley :</h3>
Diffusée dans les années 1970, « Black Is » était la première émission de télévision canadienne pour laquelle seules des personnes noires ont été embauchées. Cette émission était produite et réalisée par Mme Betty Riley, qui, à l’époque, était l’une des premières Noires à travailler comme réalisatrice. Son émission pouvait être perçue comme une riposte à la façon dont on traitait des enjeux des Noirs à la télévision à l’époque. Dans un article de presse de 1973, Mme Riley a fait valoir que la plupart des productions télévisuelles qui abordaient le sujet étaient écrites par des Blancs. Selon elle, si l’on voulait traiter des enjeux des Noirs, il fallait que ces émissions soient réalisées par des Noirs.<br />
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<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgAQwgRGbKFoX0-__lHLrUJi1FYBBx1FsGlkvtWKCH-aF8XbwuBCipt2G28HJInvLBzwNboSZ2TA-zreIYZdCJLjBKZV0LtLAB_vXms5zz_mCI_iyIDbGF0VqvwYYQFy6a6GPx7HKJ6S5Y/s1600/Hodge.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgAQwgRGbKFoX0-__lHLrUJi1FYBBx1FsGlkvtWKCH-aF8XbwuBCipt2G28HJInvLBzwNboSZ2TA-zreIYZdCJLjBKZV0LtLAB_vXms5zz_mCI_iyIDbGF0VqvwYYQFy6a6GPx7HKJ6S5Y/s200/Hodge.jpg" width="152" /></a></div>
<h3>
Fred Hodges :</h3>
Fred Hodges a commencé à travailler comme manutentionnaire de fret à la Compagnie de chemin de fer Canadien Pacifique en 1940. En 1947, il est devenu le premier membre noir du Syndicat des transports-communication, qui s’appelait à l’époque la Fraternité des commis de chemins de fer, de lignes aériennes et de navigation, manutentionnaires de fret, employés de messageries et de gares. Par la suite, il s’est joint à plusieurs autres groupes, dont la Fédération du travail du Nouveau-Brunswick, l’association du Nouveau-Brunswick pour l’avancement des gens de couleur, la commission des relations industrielles du Nouveau-Brunswick et le conseil du travail de Saint John. Fred Hodges est le premier Noir au Nouveau-Brunswick à avoir occupé un poste de conseiller municipal à Saint John en 1974.<br />
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<a name='more'></a><br /><br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgv900rz6jgal58XZWQ3j3tLOA17JuLlTihWnYQaWd_eDf94oBo342OINk-ZrmrbnOROOHS9j6MPdQyoi-XtY_uMd3DCDas_V7Azbg30-XLbcljhyHuUImTlJw2QK87CdavCViMvO_RCNg/s1600/Winslow.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgv900rz6jgal58XZWQ3j3tLOA17JuLlTihWnYQaWd_eDf94oBo342OINk-ZrmrbnOROOHS9j6MPdQyoi-XtY_uMd3DCDas_V7Azbg30-XLbcljhyHuUImTlJw2QK87CdavCViMvO_RCNg/s1600/Winslow.jpg" /></a></div>
<h3>
Mary Matilda (Tilly) Winslow :</h3>
En 1905, Tilly Winslow, originaire de Woodstock au Nouveau-Brunswick, est devenue la première Noire à qui l’Université du Nouveau-Brunswick décernait un diplôme. Elle a obtenu un baccalauréat ès arts en études classiques avec mention, en plus de remporter le prix d’excellence Montgomery-Campbell. Elle est ensuite allée enseigner à Halifax avant de déménager aux États Unis, où elle a occupé le poste de doyenne de l’école normale du Central College dans l’État de l’Alabama.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj58ALOaPs69fqLHoVBoxCIIYpXp7rilmFQI9P2MGShQlCPiSllyY3padMqwXlbxWBpbKWgBntkieLnxU-zJKE9j9tDBuesg_1H2_20xNUhjuG0uZ3bDymQnQyTbai_NgbzbBtEMbdtt7A/s1600/Gosline.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj58ALOaPs69fqLHoVBoxCIIYpXp7rilmFQI9P2MGShQlCPiSllyY3padMqwXlbxWBpbKWgBntkieLnxU-zJKE9j9tDBuesg_1H2_20xNUhjuG0uZ3bDymQnQyTbai_NgbzbBtEMbdtt7A/s1600/Gosline.jpg" /></a></div>
<h3>
Hartley Theodore Gosline :</h3>
Le 4 juin 1969, Hartley Gosline, de Saint John au Nouveau-Brunswick, commençait sa formation à la Division Dépôt, à Regina en Saskatchewan. Il deviendra le premier membre noir de la GRC. L’agent Gosline a participé à diverses missions partout dans la province avant de délaisser l’uniforme en 1978 pour lancer sa propre agence de détectives privés. Il est ensuite devenu enquêteur sur les fraudes à Développement des ressources humaines Canada.<br />
<br />
Il ne s’agit là que de quelques-unes des nombreuses personnes noires au Nouveau-Brunswick mises en valeur par la « New Brunswick Black History Society » et qui ont contribué à façonner la province que l’on connaît aujourd’hui. Bon nombre de ces personnes ne sont pas que des pionnières au Nouveau-Brunswick, mais au Canada également.Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-60639416176983624612017-01-27T16:32:00.000-04:002017-01-27T16:36:56.904-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 4 : Peter Mitchell<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEja4uUBpx_D-4BGmj_eoodlCq5rvrDh_9Z_-BydIhNCFDyfx_T_wDTEe7eL-yr77B6Ybpo9KZTj_pDnbYO7EFuFZ-JSBOpSo7-uxdtDgCGXBdN4STJyAl8hMSOxtrJgy5wZDomR02bZuXQ/s1600/Peter+Mitchell.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEja4uUBpx_D-4BGmj_eoodlCq5rvrDh_9Z_-BydIhNCFDyfx_T_wDTEe7eL-yr77B6Ybpo9KZTj_pDnbYO7EFuFZ-JSBOpSo7-uxdtDgCGXBdN4STJyAl8hMSOxtrJgy5wZDomR02bZuXQ/s200/Peter+Mitchell.jpg" width="130" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Peter Mitchell<br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: 10.56px;">(Musée du Nouveau-Brunswick,</span><br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">X10202)</span></td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: inherit;">NOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est le quatrième d'une série des articles préparés à l'occasion de la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">Semaine du patrimoine 2017, qui se tiendra du 13 au 20 février.</a> Intitulée <i>Pleins feux sur le patrimoine</i>, cette série nous donne une occasion de célébrer 150 ans de l’histoire, et de réfléchir au rôle du Nouveau-Brunswick dans l'établissement de la Confédération canadienne. En particulier, ce « pleins feux » est originaire de l’exposition du Musée de la région de Fredericton <i>Un bateau plein d’ennui : Le Nouveau-Brunswick et la Conféderation</i>, qui était conservée par Nathan Gavin et Caleb Goguen de STU et UNB. </span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<span style="font-family: inherit;"><b>Peter Mitchell</b></span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<span style="font-family: inherit;">Peter Mitchell était un Néo-Brunswickois de première génération, né de parents écossais. Il s’est engagé dans le secteur de la construction navale à Miramichi, et est demeuré un participant actif dans cette industrie jusqu’en 1868. Mitchell a aussi étudié le droit et a finalement ouvert un cabinet avec John Mercer Johnson. Il a fait son entrée sur la scène politique en 1857, et a remporté le siège pour la circonscription de Northumberland.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<span style="font-family: inherit;">Il est devenu président du Conseil exécutif en 1861. Peter Mitchell était un fervent partisan de la Confédération et a participé aux conférences de Québec et de Londres. Il a succédé à Samuel Leonard Tilley comme chef du parti de la Confédération et est devenu premier ministre du Nouveau-Brunswick en 1866. Il a fait entrer la province dans la Confédération.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<span style="font-family: inherit;"></span><br />
<a name='more'></a><span style="font-family: inherit;">Après la Confédération, Mitchell est devenu sénateur lors de la première session du Parlement en 1867. Il a démissionné plus tard de ce poste afin d’occuper le siège de Northumberland à la Chambre des communes en 1872, poste qu’il a occupé pour six ans.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<span style="font-family: inherit;">Peter Mitchell est décédé en 1899 à Montréal, dans la chambre d’hôtel où il vivait. Il a manifesté des signes d’une grave crise d’épilepsie avant de mourir. Peter Mitchell a été inhumé à Newcastle, au Nouveau-Brunswick.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s1600/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s200/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" width="200" /></a></div>
<span style="font-family: inherit;"><b>Joignez-vous à nous pour célébrer le Canada150 pendant la Semaine du patrimoine du Nouveau-Brunswick du 13 au 20 février 2017!</b></span><br />
<span style="font-family: inherit;"><b><br /></b></span>
<span style="font-family: inherit;"><b>Pour plus d’information veuillez visiter l<a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">e site Web de la Semaine du patrimoine N.-B</a>... ou suivez-nous sur <a href="https://www.facebook.com/PatrimoineNB?ref=hl" target="_blank">Facebook</a>, <a href="https://twitter.com/PatrimoineNB" target="_blank">Twitter</a>, et <a href="https://www.instagram.com/patrimoine_nb/" target="_blank">Instagram</a>.</b></span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-25363045850111399992017-01-27T16:18:00.000-04:002017-01-27T16:34:34.832-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 3 : Sir Albert James Smith<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoqIn1UOehOpxNl_VQzjEg9N9aspw4JVr2Ek_c9G1DoKKHMqKk686BeNnc2XQErGsopLNnDMNLYNFqwvFQMx2CSZZhApTwroEvdIvf-sBe7HRJlfEeBXtC5BfgqM95Y_kAmjPOOPuLuDE/s1600/Albert+James+Smith.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhoqIn1UOehOpxNl_VQzjEg9N9aspw4JVr2Ek_c9G1DoKKHMqKk686BeNnc2XQErGsopLNnDMNLYNFqwvFQMx2CSZZhApTwroEvdIvf-sBe7HRJlfEeBXtC5BfgqM95Y_kAmjPOOPuLuDE/s200/Albert+James+Smith.jpg" width="131" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Sir Albert James Smith<br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">(Musée du Nouveau-Brunswick,</span><br />
<span style="background-color: white; font-family: "arial" , "tahoma" , "helvetica" , "freesans" , sans-serif; font-size: xx-small;">X10120)</span></td></tr>
</tbody></table>
NOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est le troisième d'une série des articles préparés à l'occasion de la<a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank"> Semaine du patrimoine 2017, qui se tiendra du 13 au 20 février</a>. Intitulée <i>Pleins feux sur le patrimoine</i>, cette série nous donne une occasion de célébrer 150 ans de l’histoire, et de réfléchir au rôle du Nouveau-Brunswick dans l'établissement de la Confédération canadienne. En particulier, ce « pleins feux » est originaire de l’exposition du Musée de la région de Fredericton <i>Un bateau plein d’ennui : Le Nouveau-Brunswick et la Conféderation</i>, qui était conservée par Nathan Gavin et Caleb Goguen de STU et UNB. <br />
<br />
<h3>
Sir Albert James Smith</h3>
<br />
Albert James Smith est né à Shediac, au Nouveau-Brunswick, en 1822, dans une famille de Loyalistes de l’Empire Uni. Il a suivi des études de droit sous la conduite de E.B. Chandler et est devenu avocat à part entière en 1847. Il s’est joint aux « Smashers » et a été élu pour représenter sa circonscription de Westmorland en 1852.<br />
<br />
Smith a servi sans portefeuille jusqu’à sa nomination au poste de ministre de la Justice en 1862. Il était extrêmement populaire parmi les gens du Nouveau-Brunswick en raison de son honnêteté, de sa compassion, et de son naturel attentionné. Il a déclenché le mouvement anti-confédération parce qu’il craignait de voir la province perdre son autonomie politique et économique. En 1865, son mouvement a réussi, et il est devenu premier ministre du Nouveau-Brunswick, en remportant 26 des 41 sièges.<br />
<br />
<br />
<a name='more'></a>Toutefois, peu après, l’opinion publique a changé au Nouveau-Brunswick, en raison du soutien que l’Église a exprimé pour l’union, de la crainte d’une invasion par les Féniens des États-Unis, et des promesses rassurantes faites par les politiciens pro-confédération. Smith a quitté la scène politique provinciale en 1866, après que son parti a été battu dans l’élection par Peter Mitchell. <br />
<br />
Smith a commencé sa carrière en politique fédérale l’année suivante, et éventuellement est devenu ministre fédéral de la Marine et des Pêches. Il est décédé en 1883, peu après avoir été battu à une élection pour la première fois.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s1600/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s200/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" width="200" /></a></div>
<b>Joignez-vous à nous pour célébrer le Canada150 pendant la Semaine du patrimoine du Nouveau-Brunswick du 13 au 20 février 2017!</b><br />
<b><br /></b>
<b>Pour plus d’information veuillez visiter le <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">site Web de la Semaine du patrimoine N.-B.</a>.. ou suivez-nous sur <a href="https://www.facebook.com/PatrimoineNB?ref=hl" target="_blank">Facebook</a>, <a href="https://twitter.com/PatrimoineNB" target="_blank">Twitter</a>, et <a href="https://www.instagram.com/patrimoine_nb/" target="_blank">Instagram</a>.</b>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-52156884036485572102017-01-20T16:04:00.001-04:002017-01-27T16:34:41.088-04:00Pleins feux sur le patrimoine no 2 : Sir Samuel Leonard Tilley<blockquote class="tr_bq">
NOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est le deuxième d'une série des articles préparés à l'occasion de la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">Semaine du patrimoine 2017</a>, qui se tiendra du 13 au 20 février. Intitulée <i>Pleins feux sur le patrimoine</i>, cette série nous donne une occasion de célébrer 150 ans de l’histoire, et de réfléchir au rôle du Nouveau-Brunswick dans l'établissement de la Confédération canadienne. En particulier, ce « pleins feux » est originaire de l’exposition du Musée de la région de Fredericton <i>Un bateau plein d’ennui : Le Nouveau-Brunswick et la Conféderation</i>, qui était conservée par Nathan Gavin et Caleb Goguen de STU et UNB.</blockquote>
<h3>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim8_Ob4j1D1dVKUjfes5Qv2ProuudACLZTCOpc4lQK7RFmaZWO7O_MyvmrSGfMMgSuGYbDUFaiP4DnS_kFBo4kiVQ7m8VpcCAZh3k6e5FbWQj3dYNh4WEhdDm33_eluLHGpqSCSFzWsWE/s1600/Samuel_Leonard_Tilley_standing.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim8_Ob4j1D1dVKUjfes5Qv2ProuudACLZTCOpc4lQK7RFmaZWO7O_MyvmrSGfMMgSuGYbDUFaiP4DnS_kFBo4kiVQ7m8VpcCAZh3k6e5FbWQj3dYNh4WEhdDm33_eluLHGpqSCSFzWsWE/s200/Samuel_Leonard_Tilley_standing.jpg" width="151" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: inherit;">Sir Samuel Leonard Tilley<br style="background-color: white; font-size: x-small;" /><span style="background-color: white; font-size: xx-small;">(Bibliothèque et Archives </span><br style="background-color: white; font-size: x-small;" /><span style="background-color: white; font-size: xx-small;">nationales du Québec,</span><br style="background-color: white; font-size: x-small;" /><span style="background-color: white; font-size: xx-small;">P1000,S4,D21,P24)</span></span></td></tr>
</tbody></table>
Sir Samuel Leonard Tilley</h3>
Samuel Leonard Tilley est né dans une petite famille Loyaliste de l’Empire Uni, à Gagetown, au Nouveau-Brunswick. Tilley s’est profondément engagé dans les mouvements préconisant l’abstinence et la modération, mouvements qui prenaient de l’ampleur. Il est devenu le chef des « Sons of Temperance » au Nouveau-Brunswick avant de commencer sa carrière politique. Tilley a aussi été copropriétaire d’une pharmacie à Portland, qui fait maintenant partie de Saint John.<br />
<br />
Il a été élu à la Chambre de l’Assemblée en tant que représentant de Saint John en 1850. En 1854, il s’est joint aux « Smashers », a été réélu dans le gouvernement de Charles Fisher et a servi au poste de secrétaire provincial.<br />
<br />
Tilley est devenu premier ministre du Nouveau-Brunswick le 19 mars 1861, après que Charles Fisher a dû quitter son poste. Des discussions sérieuses portant sur la confédération ont commencé l’année suivante. Sa prise de position en faveur de la confédération a finalement entraîné sa défaite à l’élection de 1865. Il a été élu à la Chambre des communes en 1867 après l’instauration de la Confédération. Tilley est devenu ministre des Finances en 1872 et de nouveau en 1878. Il a aussi été deux fois lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick, en 1873 et en 1885.<br />
<br />
<br />
<a name='more'></a>Tilley était un ferme réformateur qui n’a pas ménagé ses efforts en matière de prohibition, de réformes de l’éducation et de développement des chemins de fer, et appuyait l’idée de la confédération. Il a participé aux trois conférences sur la confédération. Il a aussi inventé le nom « Dominion du Canada » pour le pays nouvellement créé.<br />
<br />
Il a pris sa retraite en 1893 au terme d’une longue carrière en politique et est décédé en 1896. Selon des rumeurs, sa mort aurait été causée par une septicémie, Tilley ayant marché sur du verre brisé à Rothesay, tout près de Saint John. Il a été inhumé dans le cimetière de Fern Hill à Saint John, au Nouveau-Brunswick.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s1600/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s200/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" width="200" /></a></div>
<b>Joignez-vous à nous pour célébrer le Canada150 pendant la Semaine du patrimoine du Nouveau-Brunswick du 13 au 20 février 2017!</b><br />
<b><br />
</b><b>Pour plus d’information veuillez visiter le <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">site Web de la Semaine du patrimoine N.-B</a>... ou suivez-nous sur <a href="https://www.facebook.com/PatrimoineNB" target="_blank">Facebook</a>, <a href="https://twitter.com/PatrimoineNB" target="_blank">Twitter</a>, et <a href="https://www.instagram.com/patrimoine_nb/" target="_blank">Instagram</a>.</b>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-40322343200637058782017-01-20T15:58:00.000-04:002017-01-27T16:43:19.533-04:00Pleins feux sur le patrimoine : Le lieutenant-gouverneur Arthur Hamilton Gordon<blockquote class="tr_bq">
NOTE DE LA RÉDACTION : Le texte suivant est le premier d'une série des articles préparés à l'occasion de la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">Semaine du patrimoine 2017</a>, qui se tiendra du 13 au 20 février. Intitulée <i>Pleins feux sur le patrimoine</i>, cette série nous donne une occasion de célébrer 150 ans de l’histoire, et de réfléchir au rôle du Nouveau-Brunswick dans l'établissement de la Confédération canadienne. En particulier, ce « pleins feux » est originaire de l’exposition du Musée de la région de Fredericton, <i>Un bateau plein d’ennui : Le Nouveau-Brunswick et la Conféderation</i>, qui était conservée par Nathan Gavin et Caleb Goguen de STU et UNB. </blockquote>
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZhiNydIjomafo7PWvhKaqSfckTCZospMYochBJxlMRW4wVfxPoU11D56f7X2J1CfaUEbmJ_iipGN8DsMsKddYj2ALA_l-2Ue1uV_ueIE-qEDSKgLc2cC6R3SazDb33F5E7kaV0jboV5c/s1600/Provincial+Archives+of+New+Brunswick+New+Brunswick+Salmon+Fishing+collection+P360-14+Young+Gordon.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjZhiNydIjomafo7PWvhKaqSfckTCZospMYochBJxlMRW4wVfxPoU11D56f7X2J1CfaUEbmJ_iipGN8DsMsKddYj2ALA_l-2Ue1uV_ueIE-qEDSKgLc2cC6R3SazDb33F5E7kaV0jboV5c/s200/Provincial+Archives+of+New+Brunswick+New+Brunswick+Salmon+Fishing+collection+P360-14+Young+Gordon.jpg" width="129" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: inherit;">Sir Arthur Hamilton Gordon<br style="background-color: white; font-size: x-small;" /><span style="background-color: white; font-size: xx-small;">(Archives provinciales du</span><br style="background-color: white; font-size: x-small;" /><span style="background-color: white; font-size: xx-small;">Nouveau-Brunswick, P360-14)</span></span></td></tr>
</tbody></table>
<h3>
Le lieutenant-gouverneur Arthur Hamilton Gordon</h3>
<br />
Le lieutenant-gouverneur Arthur Hamilton Gordon, fils de George Hamilton Gordon, 4e comte d’Aberdeen, est né à Londres, en Angleterre, le 26 novembre 1829. Il avait 32 ans lorsqu’il est arrivé au Nouveau-Brunswick en octobre 1861. Gordon, comme de nombreux officiels coloniaux appartenant à l’aristocratie, était un fervent sportif et un naturaliste passionné. Il est tombé immédiatement en amour pour le paysage de la province. Son affection pour la flore et la faune n’incluait pas les politiciens du Nouveau-Brunswick. Il estimait que le corps législatif était corrompu et rempli d’hommes mal éduqués et étroits d’esprit.<br />
<br />
L’union maritime était attrayante pour Gordon pour diverses raisons. Son mépris pour les politiciens du Nouveau-Brunswick l’a mené à croire qu’une fusion complète des provinces permettrait d’obtenir un meilleur ensemble de candidats politiques. En outre, Gordon se considérait comme le lieutenant-gouverneur de ces colonies unies. Il s’est opposé aux termes de l’union présentés à la Conférence de Québec qui, selon lui, donnaient beaucoup trop de pouvoir aux politiciens provinciaux qu’il méprisait. Il a dû appuyer ces termes en raison de sa position comme représentant de la Couronne.<br />
<br />
Gordon a contribué grandement à l’amélioration de l’efficacité de la milice provinciale en raison de sa connaissance des questions de sécurité qui avaient été causées par la détérioration des relations anglo-américaines durant la guerre de Sécession. La milice revitalisée ainsi que les soldats réguliers britanniques et la marine royale se tenaient prêts à défendre la province en avril 1866 lorsque les manifestations des Féniens ont eu lieu.<br />
<br />
En 1866, le lieutenant-gouverneur Arthur Hamilton Gordon a quitté le Nouveau-Brunswick, en faisant le serment de ne plus jamais travailler dans une colonie autonome. Il est allé servir sous les climats plus chauds de la Trinité, des Fidji et de la Nouvelle-Zélande. Il est décédé le 30 janvier 1912 à Londres.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s1600/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s200/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" width="200" /></a></div>
<b>Joignez-vous à nous pour célébrer le Canada150 pendant la Semaine du patrimoine du Nouveau-Brunswick du 13 au 20 février 2017!</b><br />
<b><br /></b>
<b>Pour plus d’information veuillez visiter le <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">site Web de la Semaine du patrimoine N.-B</a>... ou suivez-nous sur <a href="https://www.facebook.com/PatrimoineNB" target="_blank">Facebook</a>, <a href="https://twitter.com/PatrimoineNB" target="_blank">Twitter</a>, et <a href="https://www.instagram.com/patrimoine_nb/" target="_blank">Instagram</a>.</b>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-28149154902628713632017-01-13T16:07:00.000-04:002017-01-27T16:42:54.737-04:00Le Nouveau-Brunswick et la Confédération<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s1600/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="98" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgODTha2e7jWSG6VFmpMSVd1d3UlL1mvWhYH1wC90DBzUmQIMhyphenhyphenUMOaKeJ1WLWMohB74nvAOPsvd8rIGxiP2OMuT-1MI7TrIYmvLebjq9FKr613LU9KaM6ybdhbWjCUApByGws2uBD9Djs/s200/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" width="200" /></a></div>
par<br />
Nathan Gavin, BA<br />
Chargé de projets<br />
Direction du patrimoine<br />
<br />
Le Nouveau-Brunswick a joué un rôle important dans la Confédération et la formation du Canada. Le Nouveau-Brunswick a été l’épicentre des premières discussions officielles sur la Confédération et sa population a eu l’occasion de voter à ce sujet.<br />
<br />
Au milieu des années 1800, le Nouveau-Brunswick connaît une période de prospérité économique. Le Traité de réciprocité signé récemment favorise le commerce transfrontalier, et les secteurs de l’exploitation forestière et de la construction navale sont florissants.<br />
<br />
Néanmoins, la sécurité est une source de préoccupations pour le Nouveau-Brunswick. À l’époque, L’Amérique du Nord britannique ne possède pas sa propre armée et doit faire appel aux troupes régulières britanniques en cas de conflit. Non seulement le délai d’intervention est long, mais la Grande-Bretagne se trouve essentiellement à financer toutes les opérations militaires en Amérique du Nord britannique, un territoire britannique autonome. Des événements comme l’affaire du Trent et l’incident du Chesapeake devaient accentuer ces préoccupations.[1]<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimueHyi55rHjpmEhAXQx49FUGTniOD9FXA-hyvHfKwVKoS_8POdrkHP_iIFb8n_fg3UEomIQMi-t0Bu0IZs-XVK2eSlZxWOTa0dGnCyCO97l3tr_p1MFXHjLHOmRvHUDQnqeesbo6oarM/s1600/Provincial+Archives+of+New+Brunswick+New+Brunswick+Salmon+Fishing+collection+P360-14+Young+Gordon.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimueHyi55rHjpmEhAXQx49FUGTniOD9FXA-hyvHfKwVKoS_8POdrkHP_iIFb8n_fg3UEomIQMi-t0Bu0IZs-XVK2eSlZxWOTa0dGnCyCO97l3tr_p1MFXHjLHOmRvHUDQnqeesbo6oarM/s200/Provincial+Archives+of+New+Brunswick+New+Brunswick+Salmon+Fishing+collection+P360-14+Young+Gordon.jpg" width="129" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: inherit; font-size: x-small;">Sir Arthur Hamilton Gordon<br />(Archives provinciales du<br />Nouveau-Brunswick, P360-14)</span></td></tr>
</tbody></table>
L’union maritime semblait une solution logique au problème. Le regroupement de la Nouvelle-Écosse, du Nouveau-Brunswick et de l’Île-du-Prince-Édouard en une seule province est préconisé par beaucoup de politiciens de la région, ainsi que par le jeune <a href="http://cyberbulletindupatrimoinenb.blogspot.ca/2017/01/pleins-feux-sur-le-patrimoine-le.html" target="_blank">lieutenant-gouverneur Sir Arthur Hamilton Gordon</a>.<br />
<br />
Un mois avant la première conférence sur la Confédération à Charlottetown (Î-P-É), une délégation de politiciens et de journalistes de la province du Canada (maintenant l’Ontario et le Québec) arrive à Fredericton pour une visite non officielle. Des discours pompeux sont prononcés, des bals somptueux sont donnés et, au moment de leur départ, les représentants de la province du Canada sont invités officieusement à assister à la Conférence de Charlottetown.<br />
<br />
<br />
<a name='more'></a>La Conférence de Charlottetown, organisée au départ pour faire la promotion de l’union maritime, a lieu au début de septembre. Pendant les premières journées des discussions, la délégation de la province du Canada a l’occasion de prendre la parole et de proposer l’idée de la Confédération. À partir de ce moment-là et jusqu’à la fin de la conférence, la Confédération est le seul sujet de discussion. La conférence est aussi connue pour ses bals somptueux qui duraient souvent jusqu’au matin.<br />
<br />
Le 12 octobre 1864 se tient la Conférence de Québec, au cours de laquelle les discours et les idées nobles de la Conférence de Charlottetown sont consignés par écrit. Cette deuxième conférence sur la Confédération débouche sur les Résolutions de Québec, une liste de 72 conditions établie pour la Confédération par les délégués.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoN6_RXPgDcXcIUyDCem9KDDZd5-LFxsdq8BVRDwXrrInI35wjF_g9rXyiRBY_PNQZiKaVMWmG0Dut1ejjknUTfutZB5KMgjXAkBwBj-BCaDNiSNU8hmAFPpTlE9c4Lge4X2B3nasUU-Y/s1600/Samuel_Leonard_Tilley_standing.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjoN6_RXPgDcXcIUyDCem9KDDZd5-LFxsdq8BVRDwXrrInI35wjF_g9rXyiRBY_PNQZiKaVMWmG0Dut1ejjknUTfutZB5KMgjXAkBwBj-BCaDNiSNU8hmAFPpTlE9c4Lge4X2B3nasUU-Y/s200/Samuel_Leonard_Tilley_standing.jpg" width="151" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: inherit; font-size: x-small;">Sir Samuel Leonard Tilley<br />(Bibliothèque et Archives <br />nationales du Québec,<br />P1000,S4,D21,P24)</span></td></tr>
</tbody></table>
De retour dans la province avec les résolutions, le premier ministre du Nouveau-Brunswick, <a href="http://cyberbulletindupatrimoinenb.blogspot.ca/2017/01/pleins-feux-sur-le-patrimoine-no-2-sir.html" target="_blank">Sir Samuel Leonard Tilley</a> (de Gagetown), se heurte à une forte opposition dirigée par Sir Albert James Smith (de Dorchester), et de l’élection mouvementée se tient l’année suivante. Des questions très controversées, comme le chemin de fer Intercolonial, et l’autonomie du Nouveau-Brunswick, soulèvent un tollé.<br />
<br />
La coalition anticonfédération de Smith remporte l’élection provinciale de 1865, mettant ainsi fin au projet de la Confédération pour le moment. La coalition peu solide de réformistes et de conservateurs est aussi instable que désordonnée, parce que les membres de la coalition n’ont en commun que leur mépris pour la Confédération.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXFBW2wX16_iTq_2tQMq5mb7YsnfrncgJV32QGsZ8YVy2SmNFnoeJd4J0AOXXVVz49r_DEhivrPxhph7fzEn1Lgj6ekZquQYV-_ppOt8jEinOpf9BQQTo_SuZm-lRdjfwPTNHhNfd6e30/s1600/Albert+James+Smith.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXFBW2wX16_iTq_2tQMq5mb7YsnfrncgJV32QGsZ8YVy2SmNFnoeJd4J0AOXXVVz49r_DEhivrPxhph7fzEn1Lgj6ekZquQYV-_ppOt8jEinOpf9BQQTo_SuZm-lRdjfwPTNHhNfd6e30/s200/Albert+James+Smith.jpg" width="131" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: inherit; font-size: x-small;">Sir Albert James Smith<br />(Musée du
Nouveau-Brunswick,<br />X10120)</span><br />
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA"><o:p></o:p></span></div>
</td></tr>
</tbody></table>
L’incapacité de Smith à renouveler le Traité de réciprocité avec les États-Unis, et la menace posée par des militants irlandais (les « Fenians ») installés au Maine, portent le coup de grâce à la coalition anticonfédération. En 1866, Sir Albert James Smith doit démissionner sur l’insistance du lieutenant‑gouverneur Gordon, ce qui déclenche une autre élection provinciale sur la question de la Confédération. Dans une victoire écrasante, le mouvement pour la Confédération, dirigé par <a href="http://cyberbulletindupatrimoinenb.blogspot.ca/2017/01/pleins-feux-sur-le-patrimoine-no-4.html" target="_blank">Peter Mitchell</a> de Miramichi, obtient 33 des 41 sièges. [2]<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKKRynT9qO6z1Lh_yd2ZlopBO24K0aTipUGZM0vGjJPIX0o2iZQxiEQtyVcTJLxr5vq_uQ25fldBY0imcoCISaDfzwddasjRUV6dolRvKCrTOLijePbw-J4wex3CqxTMQjwpxJhFIfLIg/s1600/Peter+Mitchell.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKKRynT9qO6z1Lh_yd2ZlopBO24K0aTipUGZM0vGjJPIX0o2iZQxiEQtyVcTJLxr5vq_uQ25fldBY0imcoCISaDfzwddasjRUV6dolRvKCrTOLijePbw-J4wex3CqxTMQjwpxJhFIfLIg/s200/Peter+Mitchell.jpg" width="130" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Peter Mitchell<br />
(Musée du Nouveau-Brunswick,<br />
<span style="font-size: x-small;">X10202)</span></td></tr>
</tbody></table>
La dernière conférence sur la Confédération, qui s’amorce en décembre 1866 à Londres (Angleterre), devait durer jusqu’en mars 1867. La plus longue conférence jusqu’à présent aboutit aux Résolutions de Londres, renommées plus tard l’Acte de l’Amérique du <br />
<div style="text-align: right;">
</div>
Nord britannique, 1867. Cet acte, qui reçoit la sanction royale le 26 mars 1867, allait devenir un élément important de la Constitution canadienne, concrétise la Confédération, étant le prélude à la création le 1er juillet 1867 du Dominion du Canada.<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjq341Xs9unHkTT4NjSYaUr9R2DCucTjX6TS-3HI8IzMRiHK9bgqufQvLE0F9r-WpXQm2wRjf0lv06udO9L6G4bzMM0BPxeWQUHwyp_ycMbDXpTFHKyjpYIP0g20BLFZ37B9In-nkNQ8ek/s1600/FINAL_NB-CA150+col.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="184" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjq341Xs9unHkTT4NjSYaUr9R2DCucTjX6TS-3HI8IzMRiHK9bgqufQvLE0F9r-WpXQm2wRjf0lv06udO9L6G4bzMM0BPxeWQUHwyp_ycMbDXpTFHKyjpYIP0g20BLFZ37B9In-nkNQ8ek/s200/FINAL_NB-CA150+col.jpg" width="200" /></a></div>
<span style="font-family: inherit;">Joignez-vous à nous pour célébrer le Canada150 pendant la <b>Semaine du patrimoine du Nouveau-Brunswick du 13 au 20 février 2017!</b></span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span><span style="font-family: inherit;">Pour plus d’information veuillez visiter <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">le site Web de la Semaine du patrimoine N.-B.</a></span><br />
<br />
<br />
<br />
<span style="font-size: x-small;">[1] <a href="http://www.collectionscanada.gc.ca/confederation/023001-3050-f.html">http://www.collectionscanada.gc.ca/confederation/023001-3050-f.html</a></span><br />
<span style="font-size: x-small;">[2] <a href="http://www.biographi.ca/fr/bio/smith_albert_james_11E.html">http://www.biographi.ca/fr/bio/smith_albert_james_11E.html</a></span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-57886824121350952922017-01-06T15:55:00.000-04:002017-01-06T15:57:22.947-04:00Semaine du patrimoine du Nouveau-Brunswick - Célébrons 150 ans !<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEtuSxVTIdMZLJIDugXo4Gw6cpKUV49hSV2nSyIFr7zPx1Mdb3eVEcEf6gpCWDocM1j1rCoEV6X1KHSMMAiCPcwYc0j6lERO2vl4BZcYHfBs0D9XqcOz5XwJQnPr3rSSGGRAqVzhDqm-g/s1600/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="157" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiEtuSxVTIdMZLJIDugXo4Gw6cpKUV49hSV2nSyIFr7zPx1Mdb3eVEcEf6gpCWDocM1j1rCoEV6X1KHSMMAiCPcwYc0j6lERO2vl4BZcYHfBs0D9XqcOz5XwJQnPr3rSSGGRAqVzhDqm-g/s320/10897+large+web+graphic+fr+72.jpg" width="320" /></a></div>
<br />
<span style="font-family: inherit;">Afin de rendre hommage au 150e anniversaire de la Confédération, le thème pour la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">Semaine du patrimoine 2017</a> est <b>Célébrons 150 ans</b>. Ce thème nous donne l’occasion de souligner le rôle du Nouveau-Brunswick dans la Confédération canadienne et de réfléchir aux nombreuses contributions des gens de la province à notre pays, le Canada.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiU_XTskcJ06xQpZqnGy133ExjdX4nJLA28041EI2G_N1t7IDTqAgUJoitRM4K1mndhjHtC2Dz18cR1eSZODHyAvko2H7sozHOv0aAlUTUifpddnB159mttEAYIE0YQ9SovZLgAcEPPTds/s1600/Province_House_Ball_1864.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="152" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiU_XTskcJ06xQpZqnGy133ExjdX4nJLA28041EI2G_N1t7IDTqAgUJoitRM4K1mndhjHtC2Dz18cR1eSZODHyAvko2H7sozHOv0aAlUTUifpddnB159mttEAYIE0YQ9SovZLgAcEPPTds/s200/Province_House_Ball_1864.jpg" width="200" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="font-family: "times new roman" , serif; font-size: 9.5pt;">Dusan Kadlec, </span>Bal à Province House<br />
(source: Parcs Canada) </td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span style="font-family: inherit;">L’affiche de la Semaine du patrimoine 2017 du Nouveau-Brunswick présente une « pointe folle » de la collection du Musée du comté de Kings à Hampton. C’était construit par la couturière Fannie Parlee entre 1864 et 1895, du tissu pris des robes portées par ceux qui ont assisté au bal de la Conférence de Charlottetown en 1864. Cette conférence historique, où ils ont discuté l’idée de la Confédération pour la première fois, s’est notée pour le bal extravagant tenue au nom de l'union, le 8 septembre 1864.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span style="font-family: inherit;">On peut également trouver dans l’affiche de la Semaine du patrimoine 2017 les visages des nombreux individus qui ont été témoins de l’entrée du Nouveau Brunswick dans la Confédération. Notamment, <a href="http://www.biographi.ca/fr/bio/gordon_arthur_hamilton_14F.html" target="_blank">Sir Arthur Hamilton Gordon </a>qui était le lieutenant-gouverneur à ce temps-là, ainsi que <a href="http://www.biographi.ca/fr/bio/acquin_gabriel_13F.html" target="_blank">chef Gabriel Acquin</a>, <a href="http://www.biographi.ca/fr/bio/tilley_samuel_leonard_12E.html" target="_blank">Sir Samuel Leonard Tilley</a>, <a href="http://www.biographi.ca/fr/bio/landry_amand_10F.html" target="_blank">Amand Landry</a>, <a href="http://www.biographi.ca/fr/bio/viger_amanda_13F.html" target="_blank">Sœur Amanda Viger</a>, et le <a href="http://encyclopediecanadienne.ca/fr/article/paris-crew/" target="_blank">« Paris Crew »</a> (pour n’en nommer que quelques-uns). </span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span style="font-family: inherit;">Pour souligner la Semaine du patrimoine 2017, nous vous invitons à célébrer avec nous en marquant 150 ans de l’histoire dans notre province. Pendant le <a href="http://canada.pch.gc.ca/fra/1449158599459/1452877117760" target="_blank">Jour du drapeau national du Canada</a> (le 15 février), prenez le temps de penser à la façon dont notre passée définit qui nous sommes en tant que Canadiens et Canadiennes. À l’occasion du jour du Patrimoine national (le 20 février), réfléchissez sur comment le patrimoine nous donne un legs au future.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span style="font-family: inherit;">Il est maintenant temps de planifier votre part dans la Semaine du patrimoine 2017. Laissez-vous guider par votre imagination! Vous pouvez être hôte ou hôtesse, composer une chanson, donner un spectacle, partir à la découverte, faire une recherche, écrire un récit ou organiser une activité. Les possibilités sont infinies! Nous vous invitons à participer, à planifier une activité, et à échanger des renseignements avec nous grâce à <a href="http://www1.gnb.ca/0131/fr/event/addNew-Public-f.asp" target="_blank">notre système d’inscription en ligne</a>.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"></span><br />
<a name='more'></a><span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyjnrgbiEsbGBwF-_aWf1_gV4sIkBgB1-fqmBWsNQ8ehttY16D3DbTDNWV0DKxDzhZbTwWunycJS6U1Y72J9GCcHm3TuEDSoT5V_MMKi6z0ThEa7zqTUgs-ADblGbO8ld0dqwgU2p6YFc/s1600/FINAL_NB-CA150+col.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="184" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhyjnrgbiEsbGBwF-_aWf1_gV4sIkBgB1-fqmBWsNQ8ehttY16D3DbTDNWV0DKxDzhZbTwWunycJS6U1Y72J9GCcHm3TuEDSoT5V_MMKi6z0ThEa7zqTUgs-ADblGbO8ld0dqwgU2p6YFc/s200/FINAL_NB-CA150+col.jpg" width="200" /></a></div>
<span style="font-family: inherit;"><b>Décidez</b> de célébrer votre patrimoine et de participer en organisant une activité! Toutes les activités inscrites d’ici au <b>31 janvier 2017</b> seront affichées sur le site de la Semaine du patrimoine et seront incluses dans les listes à distribuer publiquement. Toutes les personnes et groupes qui inscrivent une activité recevront un <b>Certificat de participation</b>.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span style="font-family: inherit;"><b>Joignez-vous à nous pour célébrer le <a href="https://canada150nb.ca/?lang=fr" target="_blank">Canada150</a> pendant la Semaine du patrimoine du Nouveau Brunswick du 13 au 20 février 2017!</b></span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span style="font-family: inherit;">Pour plus d’information veuillez visiter <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine_2017.html" target="_blank">le site Web de la Semaine du patrimoine N.-B.</a></span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-28192178339562875572015-02-24T13:35:00.001-04:002015-02-24T14:02:03.930-04:00Le drapeau du Nouveau-Brunswick a 50 ans : L’espoir renaît<div class="MsoNormal">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgseV42dPmC8lUkTAiXtjkFtUN_dN_mfZQMzeXwUgjvaOMZNSNzPVvaxIB2Z1VKyt2Bey75scd_HDCUEJkvkrCbviR-lO6zBIJkafT_EcL_p0g8DfvNODwK_sG8RUPyOb0x3Zy7wfBa3lc/s1600/2000px-Flag_of_New_Brunswick.svg.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgseV42dPmC8lUkTAiXtjkFtUN_dN_mfZQMzeXwUgjvaOMZNSNzPVvaxIB2Z1VKyt2Bey75scd_HDCUEJkvkrCbviR-lO6zBIJkafT_EcL_p0g8DfvNODwK_sG8RUPyOb0x3Zy7wfBa3lc/s1600/2000px-Flag_of_New_Brunswick.svg.png" height="125" width="200" /></a></div>
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Le 24 février, le Nouveau-Brunswick célébrera le 50<sup>e</sup> anniversaire de son drapeau. L’adoption de notre drapeau suit de près de deux semaines celle de l’unifolié par le Canada. Pourtant, contrairement aux débats de la Chambre des communes </span><span lang="FR-CA">à</span><span lang="FR-CA"> Ottawa sur l’unifolié, qui ont pris les allures d’accusations d’activités politiques partisanes et de dénigrement linguistique, l’histoire de l’adoption du drapeau du Nouveau-Brunswick est bien moins controversée.<o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">La raison est simple : en 1868, la reine Victoria avait conféré des armoiries au Nouveau-Brunswick </span><span lang="FR-CA">«</span><span lang="FR-CA"> …que la province était tenue d’arborer sur les sceaux, les blasons, les bannières, les drapeaux et autres, conformément aux lois d’armoiries</span><span lang="FR-CA">» [<i>traduction</i><span class="MsoFootnoteReference"> </span>]<a href="file:///E:/Heritage%20Week%202015/Social%20Media%20Campaign/NB%20Flag%20Blog%20FRENCH.doc#_ftn1" name="_ftnref1" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA" style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA; mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US;">[1]</span></span><!--[endif]--></span></a>.</span><span lang="FR-CA"><o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA"></span></span><br />
<a name='more'></a><span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Grâce à l’efficacité du jeune fonctionnaire <a href="http://www.acadienouvelle.com/arts-et-spectacles/2015/02/09/le-drapeau-du-n-b-50-ans-plus-tard/?pgnc=1" target="_blank">Robert Pichette</a>, qui a rapidement entrepris les recherches et conçu le drapeau du Nouveau-Brunswick, le processus d’adoption n’a guère suscité de controverse. </span><span lang="FR-CA">Évidemment, on a proposé que le Nouveau-Brunswick suive l’exemple de l’Ontario en adoptant le Pavillon rouge comme drapeau provincial. En particulier, dans une lettre écrite de Blackwater, en Ontario, un enseignant à la retraite proposait le drapeau suivant pour le Nouveau-Brunswick :</span><span lang="FR-CA"><o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;"><br />
</span> <br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-AV0CQ9H5O06x1abP4yu5cLAVcSt_CHRQq7K_4B_cReTbg3_I34HWSnJyuTZ9uKzm-TGBeiqjeOxuHCEh6B1_yTHSk6r9btMx0QOA3M4PqhSoE2EqppZtW6kKCQmHtyaDyMEmX3F7eVI/s1600/NBFLag3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg-AV0CQ9H5O06x1abP4yu5cLAVcSt_CHRQq7K_4B_cReTbg3_I34HWSnJyuTZ9uKzm-TGBeiqjeOxuHCEh6B1_yTHSk6r9btMx0QOA3M4PqhSoE2EqppZtW6kKCQmHtyaDyMEmX3F7eVI/s1600/NBFLag3.jpg" height="181" width="320" /></a></div>
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;">Il mettait aussi en garde le premier ministre Louis J. Robichaud contre le déploiement de l’unifolié sur les édifices publics de la province car, disait-il, « c’est le drapeau de l’ennemi odieux et malfaisant, les libéraux » [<i>traduction</i>]<a href="file:///E:/Heritage%20Week%202015/Social%20Media%20Campaign/NB%20Flag%20Blog%20FRENCH.doc#_ftn2" name="_ftnref2" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA" style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-latin; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">[2]</span></span><!--[endif]--></span></a>.<span class="tw4winMark"><span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; line-height: 115%; mso-ansi-font-size: 11.0pt; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;"> </span></span><o:p></o:p></span><br />
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiERCjuOqjytD4IrnIstnmznmffKWTgRWQpSIVmYslpYrZp6HGjnPdvu6YOvsd8J95R3rBX2dw37c0aYNRg0yT55VrFKFzNV-8ik2hyphenhyphen72XdW2BkWcw_rFEui6rWJULwTwkT0a7ATKHKdis/s1600/Proclamation.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiERCjuOqjytD4IrnIstnmznmffKWTgRWQpSIVmYslpYrZp6HGjnPdvu6YOvsd8J95R3rBX2dw37c0aYNRg0yT55VrFKFzNV-8ik2hyphenhyphen72XdW2BkWcw_rFEui6rWJULwTwkT0a7ATKHKdis/s1600/Proclamation.jpg" height="148" width="200" /></a></div>
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Suivant les conseils d’un spécialiste de l’art héraldique, Conrad Swan du College of Arms de Londres, en Angleterre, ainsi que de l’artiste de guerre <a href="http://epe.lac-bac.gc.ca/100/206/301/lac-bac/canadian_war_artists-ef/www.collectionscanada.gc.ca/artistes-de-guerre/05100202_f.html">Alan B. Beddoe, OBE, (RVMRC) RS</a>, M. Pichette s’est rapidement mis au travail et le drapeau du Nouveau-Brunswick a été proclamé le 24 février 1965. </span><span lang="FR-CA">Ce document officiel</span><span lang="FR-CA" style="color: #212121; font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; mso-ansi-language: FR-CA; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;"> a l’honneur d’être le premier document du gouvernement du Nouveau -Brunswick qui était imprimé dans les deux langues officielles.</span><a href="file:///E:/Heritage%20Week%202015/Social%20Media%20Campaign/NB%20Flag%20Blog%20FRENCH.doc#_ftn3" name="_ftnref3" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><span style="color: black; font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span style="line-height: 115%;">[3]</span></span><!--[endif]--></span></span></a>.</span></div>
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;"><o:p></o:p></span><br />
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;"><br />
</span> <span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;">Le drapeau se veut une interprétation stylisée des armoiries du Nouveau-Brunswick, dont les couleurs ont été remises au goût du jour afin de les rendre plus franches et plus vives. Une touche artistique moderne vient également rehausser chacun des éléments symboliques. Comme le soulignait M. Pichette dans une note d’information destinée au premier ministre Louis J. Robichaud en 1965 :<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Permettez-moi de citer une lettre de D<sup>r</sup> Swan : « Quand le temps sera venu de concevoir le drapeau, dit-il, je sais que votre connaissance héraldique vous invitera à une interprétation audacieuse des armoiries : un lion filiforme, féroce et généreux, et une nef ou une galère symbolique. »</span> </span></blockquote>
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Le modèle proposé par le capitaine de corvette Beddoe, et élaboré suivant mes conseils, intègre ces remarques.</span><span lang="FR-CA"> Par conséquent, ce ravissant modèle est très différent du modèle victorien peu élaboré qui est à la mode dans la province depuis 1868… [traduction]<o:p></o:p></span></span></blockquote>
</div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;"><br />
</span></div>
<div class="MsoNormal">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipTZLMOs7igwT5icnBGEAqIAoyFKhgVo28xYV1GGRvlXhxWY6llzRFs4T4bipYmiEqzxrZZznMripxiXYMHbm7da8uOSaO-hDIcLFW5_hnH1FMFW8z_YdIjcVoskMJ41rl2MeOsOWiIDU/s1600/IB3501.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipTZLMOs7igwT5icnBGEAqIAoyFKhgVo28xYV1GGRvlXhxWY6llzRFs4T4bipYmiEqzxrZZznMripxiXYMHbm7da8uOSaO-hDIcLFW5_hnH1FMFW8z_YdIjcVoskMJ41rl2MeOsOWiIDU/s1600/IB3501.jpg" height="133" width="200" /></a></div>
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;">Assurément, le drapeau de M. Beddoe était frappant, surtout lorsqu’il flottait dans le ciel bleu du Nouveau-Brunswick.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;"><br />
</span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;">Pendant la cérémonie de reconnaissance tenue à l’Assemblée législative du Nouveau-Brunswick le 25 mars 1965, le premier ministre Louis J. Robichaud a prononcé un discours empreint d’espoir devant la population du Nouveau-Brunswick :<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: inherit;">The symbols on this flag tell the story of the romance of our history. Steeped as we are in the traditions of our pioneering ancestors, this flag also embodies the pride of our future.</span> </blockquote>
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: inherit;">This beautiful flag, granted to us by Queen Victoria, will be a link between our storied past and our bright future… </span></blockquote>
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Ce drapeau est un lien entre notre passé, lourd d’histoire, et notre avenir prometteur. Je ne doute pas que tous les citoyens de notre province verront en ce drapeau la fierté que chacun d’entre nous a dans nos institutions et nos traditions.</span> </span></blockquote>
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA"></span><span lang="FR-CA">Ce drapeau que nous arborons aujourd’hui pour la première fois rappele admirablement bien nos origines. Soyons en fiers!<a href="file:///E:/Heritage%20Week%202015/Social%20Media%20Campaign/NB%20Flag%20Blog%20FRENCH.doc#_ftn4" name="_ftnref4" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA" style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA; mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US;">[4]</span></span><!--[endif]--></span></a></span></span></blockquote>
<span style="font-family: inherit;"><o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="margin-left: .5in;">
<span style="font-family: inherit;"><o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjW4vyYCu4lMNaRTXo4MK4bLwU-JyLiKKHOANHEINaWJJCGSUwMX1efU1Xdjc3C70EAay36_ndJvvCqxHNbA7zSI9L5hqDkk7xsA0TZ88-nzl-CsICdRuoduGROtMWiKOFk_7sVFU3fRYw/s1600/flag.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjW4vyYCu4lMNaRTXo4MK4bLwU-JyLiKKHOANHEINaWJJCGSUwMX1efU1Xdjc3C70EAay36_ndJvvCqxHNbA7zSI9L5hqDkk7xsA0TZ88-nzl-CsICdRuoduGROtMWiKOFk_7sVFU3fRYw/s1600/flag.jpg" height="223" width="320" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA" style="font-size: 9pt; line-height: 115%;">Photo prise dans l'enceinte de l'Assemblée législative, </span><span style="text-align: start;">à Fredericton le jeudi, 25 mars 1965. De gauche à droite au premier rang : M<sup>e</sup> M. M. Hoyt, c.r., greffier du Conseil exécutif, le révérend G. A. Hatton, chapelain de l'Assemblée législative, l'honorable Louis J. Robichaud, c.r., premier ministre, M. Cyril B. Sherwood, chef de l'Opposition. </span><span lang="FR-CA" style="font-size: 9pt; line-height: 115%;">À</span><span lang="FR-CA" style="font-size: 9pt; line-height: 115%;"> l’arri</span><span lang="FR-CA" style="font-size: 9pt; line-height: 115%;">è</span><span lang="FR-CA" style="font-size: 9pt; line-height: 115%;">re-plan : l’honorable Kenneth J. Webber, ministre du travail et Robert Pichette, chef de cabinet du premier ministre et instigateur de l’adoption du drapeau. APNB, RS662 C7b.</span><span lang="FR-CA" style="font-size: 9.0pt; line-height: 115%; mso-bidi-font-family: Calibri;"><o:p></o:p></span></div>
</td></tr>
</tbody></table>
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;">Aujourd’hui, nous continuons d’arborer notre drapeau avec autant de fierté.<o:p></o:p></span></div>
<br />
<div>
<hr align="left" size="1" width="33%" />
<!--[endif]--> <br />
<div id="ftn1">
<div class="MsoFootnoteText">
<span style="font-family: inherit;"><a href="file:///E:/Heritage%20Week%202015/Social%20Media%20Campaign/NB%20Flag%20Blog%20FRENCH.doc#_ftnref1" name="_ftn1" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA" style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US;">[1]</span></span><!--[endif]--></span></span></a><span lang="FR-CA"> Brevet royal de 1868.<o:p></o:p></span></span></div>
</div>
<div id="ftn2">
<div class="MsoFootnoteText">
<span style="font-family: inherit;"><a href="file:///E:/Heritage%20Week%202015/Social%20Media%20Campaign/NB%20Flag%20Blog%20FRENCH.doc#_ftnref2" name="_ftn2" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA" style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US;">[2]</span></span><!--[endif]--></span></span></a><span lang="FR-CA"> <i>Lettre au premier ministre </i></span><i><span lang="FR-CA">Louis J. Robichaud</span></i><span lang="FR-CA">, 9 janvier 1965. APNB, RS416.<o:p></o:p></span></span></div>
</div>
<div id="ftn3">
<div class="MsoFootnoteText">
<span style="font-family: inherit;"><a href="file:///E:/Heritage%20Week%202015/Social%20Media%20Campaign/NB%20Flag%20Blog%20FRENCH.doc#_ftnref3" name="_ftn3" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA" style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US;">[3]</span></span><!--[endif]--></span></span></a><span lang="FR-CA"> </span>D. Stanley, <i>Louis Robichaud: A Decade of Power</i>, 1984, 115. <o:p></o:p></span></div>
</div>
<div id="ftn4">
<div class="MsoFootnoteText">
<span style="font-family: inherit;"><a href="file:///E:/Heritage%20Week%202015/Social%20Media%20Campaign/NB%20Flag%20Blog%20FRENCH.doc#_ftnref4" name="_ftn4" title=""><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA"><!--[if !supportFootnotes]--><span class="MsoFootnoteReference"><span lang="FR-CA" style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 10.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: FR-CA; mso-bidi-font-family: "Times New Roman"; mso-bidi-language: AR-SA; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US;">[4]</span></span><!--[endif]--></span></span></a><span lang="FR-CA"> Parole du premier ministre Robichaud, le 25 mars, 1965. </span>APNB, RS416.</span><o:p></o:p></div>
</div>
</div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-8176742896982179562015-02-13T15:57:00.000-04:002015-02-13T16:01:41.686-04:00Le drapeau canadien : un bref historique<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidm7YJVdxIpH_Vq378V7QA75mUiV6o4ltRci-jGTuEaa8TScVbmkrqliQ9e95eX65Df5B_Wmy8lK2jESBojd8SsktEbslm4wyoScrNZdQezxizhhgL8l1JTv9cSgQyp-8spf1ENbC7Gl4/s1600/Katie.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEidm7YJVdxIpH_Vq378V7QA75mUiV6o4ltRci-jGTuEaa8TScVbmkrqliQ9e95eX65Df5B_Wmy8lK2jESBojd8SsktEbslm4wyoScrNZdQezxizhhgL8l1JTv9cSgQyp-8spf1ENbC7Gl4/s1600/Katie.jpg" height="200" width="137" /></a></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;">Par Katlin Davey,<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;">Interne de l'histoire publique</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit;">Arts 3000, UNB</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span style="font-family: inherit; text-indent: 0.5in;"><br /></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span style="font-family: inherit;"><span style="text-indent: 0.5in;">L’histoire de la naissance du drapeau canadien est tout à fait
singulière. À l’approche de son 50</span><sup style="text-indent: 0.5in;">e</sup><span style="text-indent: 0.5in;"> anniversaire, il est
important de songer aux événements de 1965, étant donné qu’un drapeau national
contribue à forger une identité nationale. Pour les Canadiens qui n’ont aucun
souvenir du </span><i style="text-indent: 0.5in;">Red</i><span style="text-indent: 0.5in;"> </span><i style="text-indent: 0.5in;">Ensign</i><span style="text-indent: 0.5in;">, il est difficile d’imaginer un Canada qui n’est pas défini
par le drapeau unifolié. Toutefois, l’adoption d’un nouveau drapeau canadien n’a
pas été une mission facile. Beaucoup de Canadiens étaient en faveur de
l’adoption d’un nouveau drapeau, mais beaucoup d’autres n’en voulaient pas. C’est
au début de 1964 qu’a commencé la démarche visant à concevoir un drapeau national
et, le 15 février 1965, un nouveau Canada voyait le jour.</span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span style="font-family: inherit; text-indent: 0.5in;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhD-RCrtdWtE1eN3ohdrcS2DtZSLM646DuaUIfcFAGsiBZn5LTVziHul6TE0SKgGuAx3Q4_LMhLqw1bfUG9Qpc-i7_qK5M4TjuNkgpbIe7gv-AgIOlGJn79gFecF9uoLCTVbHZbASa_1k/s1600/Blog.gif" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><span style="font-family: inherit;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhD-RCrtdWtE1eN3ohdrcS2DtZSLM646DuaUIfcFAGsiBZn5LTVziHul6TE0SKgGuAx3Q4_LMhLqw1bfUG9Qpc-i7_qK5M4TjuNkgpbIe7gv-AgIOlGJn79gFecF9uoLCTVbHZbASa_1k/s1600/Blog.gif" height="100" width="200" /></span></a></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span style="font-family: inherit;"><span style="text-indent: 0.5in;">Le premier ministre, Lester B. Pearson, était un ardent
partisan de la conception d’un nouveau drapeau national. Bien que le </span><i style="text-indent: 0.5in;">Red</i><span style="text-indent: 0.5in;"> </span><i style="text-indent: 0.5in;">Ensign</i><span style="text-indent: 0.5in;">
jouait le rôle de drapeau national depuis de nombreuses années, il croyait que
le Canada était parvenu à maturité comme pays et qu’il devait être redéfini
ainsi que réunifié. Étant donné que le premier ministre Pearson comprenait que
la création d’un nouveau drapeau devait être le résultat d’un effort bipartisan,
un comité mixte a été mis sur pied. Par la suite, une invitation générale à
présenter des propositions a été lancée et des gens de tout le Canada ont suggéré
leurs idées quant à l’apparence que devrait avoir le nouveau drapeau national. Plus
de 3 000 esquisses ont été présentées, parmi lesquelles plus de 2 000
contenaient une feuille d’érable. En fin de compte, le comité n’en a retenu que
trois.</span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit; text-indent: 0.5in;"></span></div>
<a name='more'></a><span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmI-4lubCI2armIs6EsGlxGgXW9GvIVz5gqz9xUCnWV-SnF-MtuGIYW1w-36iDXXsTxm5ewOhrbxLnMPSRiXPPnsuk7iOuk4cnxVQVtmCATvVbYdE8-V29WLrBa1DvUWfPaqJCFPZtK-k/s1600/blog3.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-family: inherit;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmI-4lubCI2armIs6EsGlxGgXW9GvIVz5gqz9xUCnWV-SnF-MtuGIYW1w-36iDXXsTxm5ewOhrbxLnMPSRiXPPnsuk7iOuk4cnxVQVtmCATvVbYdE8-V29WLrBa1DvUWfPaqJCFPZtK-k/s1600/blog3.png" height="133" width="200" /></span></a></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA" style="text-indent: 0.5in;">Selon <a href="http://www.pch.gc.ca/fra/1363358734450/1363344743820">Patrimoine
Canada</a>, le « </span><span lang="FR" style="text-indent: 0.5in;">D<sup>r</sup> George
Stanley, doyen de la faculté des Lettres au Collège militaire royal de Kingston
(…), a fait observer aux membres du comité le fait que le drapeau du commandant
du Collège, un symbole – une main gantée sur un carré rouge et blanc – était
impressionnant »</span><span lang="FR-CA" style="text-indent: 0.5in;">.
On peut voir ci-dessous une représentation de ce drapeau. Les similitudes entre
celui-ci et le design définitif du drapeau canadien sont très évidentes.</span></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span lang="FR-CA" style="font-family: inherit; text-indent: 0.5in;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgkOEy98yJE7WGsfYVkEFEajQjc80UF2aiyGmBc0WIv2vdlaptvk6Ywwb7hDaDiEtxo7XGGBllnbqbMAtCwOTaMqyWPyinnBaMDa8XZ3zPQQgrufmCMI7pK0747aer7aScquZ2CCbo8eQ/s1600/blog2.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><span style="font-family: inherit;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgkOEy98yJE7WGsfYVkEFEajQjc80UF2aiyGmBc0WIv2vdlaptvk6Ywwb7hDaDiEtxo7XGGBllnbqbMAtCwOTaMqyWPyinnBaMDa8XZ3zPQQgrufmCMI7pK0747aer7aScquZ2CCbo8eQ/s1600/blog2.jpg" height="100" width="200" /></span></a></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA" style="text-indent: 0.5in;">Quand à lui, le premier ministre Lester Pearson était en faveur
d’un autre design intéressant pour le drapeau. Le « fanion de Pearson »
(</span></span><span style="text-indent: 48px;">à</span><span style="text-indent: 48px;"> la droite</span><span lang="FR-CA" style="font-family: inherit; text-indent: 0.5in;">) a également des ressemblances avec le drapeau canadien d’aujourd’hui.
Selon <a href="http://www.pch.gc.ca/fra/1363358734450/1363344743820">Patrimoine
Canada</a>, « </span><span lang="FR" style="font-family: inherit; text-indent: 0.5in;">à la fin,
le comité décida de recommander l’unifolié, et ce dernier fut adopté par la Chambre
des communes le 15 décembre 1964 et par le Sénat le
17 décembre 1964. La proclamation fut signée par Sa Majesté la reine
Elizabeth II, reine du Canada, et est entrée en vigueur le
15 février 1965</span><span lang="FR-CA" style="font-family: inherit; text-indent: 0.5in;">. »</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span style="font-family: inherit; text-indent: 0.5in;"><br /></span></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXl7F5JJ20StPiJF6xG_J-ksH59-D0AMtiIPZ6nNjMosieTGjKgVNrdGEXvx6VLz7m_8kqT5sRnSp4LazxvwNLI8RpySle2ZraTqSb1WV52bFUY8WLBfB5HB9rfarOzp9-GMOCG5TxHxE/s1600/blog4.png" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-family: inherit;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXl7F5JJ20StPiJF6xG_J-ksH59-D0AMtiIPZ6nNjMosieTGjKgVNrdGEXvx6VLz7m_8kqT5sRnSp4LazxvwNLI8RpySle2ZraTqSb1WV52bFUY8WLBfB5HB9rfarOzp9-GMOCG5TxHxE/s1600/blog4.png" height="100" width="200" /></span></a></div>
<div class="MsoNormal" style="text-align: left;">
<span style="font-family: inherit;"><span style="text-indent: 0.5in;">Le 15 février 2015, les Canadiens célébreront le 50</span><sup style="text-indent: 0.5in;">e</sup><span style="text-indent: 0.5in;"> anniversaire
de notre drapeau national. En 1965, le drapeau canadien est né après de
nombreux débats et bien des réflexions. Le premier ministre Pearson voyait le
nouveau drapeau comme un moyen d’unir les Canadiens; en rétrospective, c’est exactement
ce qui s’est produit. L’unifolié est un élément distinctif de l’identité
canadienne, tant au pays qu’à l’échelle internationale. À l’approche du 50</span><sup style="text-indent: 0.5in;">e</sup><span style="text-indent: 0.5in;"> anniversaire
du drapeau et du 150</span><sup style="text-indent: 0.5in;">e</sup><span style="text-indent: 0.5in;"> anniversaire de la Confédération, il
importe d’être conscient de tout ce qui nous unit en tant que Canadiens.</span></span></div>
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<br />
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-74688107635902041262014-11-28T16:39:00.001-04:002014-11-28T16:39:12.390-04:00Fêtes du patrimoine du Nouveau-Brunswick 2015<div class="MsoNormal">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiXwYJg0jJZ3Iaimg-3PiiRxcwP5IveRPbECt5KzVu6UhWbMg0vvpGHpCM9oVleyAWxEtz_uzRHmCdPsWLphS4osuLKE-0OCmDzaYvxprN4aArsH8mrDqt08dWdqXgGYvM8JBY12Bof7Yk/s1600/gagnantes+2014.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiXwYJg0jJZ3Iaimg-3PiiRxcwP5IveRPbECt5KzVu6UhWbMg0vvpGHpCM9oVleyAWxEtz_uzRHmCdPsWLphS4osuLKE-0OCmDzaYvxprN4aArsH8mrDqt08dWdqXgGYvM8JBY12Bof7Yk/s1600/gagnantes+2014.JPG" height="132" width="200" /></a></div>
Comme les années précédentes, une Fête régionale du patrimoine se déroulera dans votre district à la fin avril ou au début mai.</div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Si vous voulez que votre école participe encore une fois au programme des Fêtes régionales du patrimoine du Nouveau-Brunswick, veuillez remplir <a href="http://www1.gnb.ca/0007/Heritage/Newsletter/FormulaireDesFetes2015.pdf">la feuille ci-jointe</a> et la retourner à l’adresse suivant : </span><span lang="EN-US"><b><span lang="FR-CA"><a href="mailto:fetes.dupatrimoine@gnb.ca">fetes.dupatrimoine@gnb.ca</a> Avant le 2 décembre</span></b></span><span lang="FR-CA"><o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA">De plus amples renseignements concernant le programme des Fêtes du patrimoine (et les évènements de 2014) sont affichés sur le <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/fetes_patrimoine/2015.html">site Web</a>.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA">Je vous remercie et je vous offre mes meilleurs vœux de succès pour une autre année scolaire réussie!<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: inherit;">Cynthia</span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-76600485223778149122014-11-28T16:27:00.003-04:002014-11-28T16:27:31.782-04:00« L’espoir renaît » sera le thème de la Semaine du patrimoine 2015<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjy-U77tj5MppkSewtfKTI3uS8Nony6zWm1_lwd2O4Eeeja-6mw9UCR1PyahZk6TjK843QebvTsPXsuHoa4WmShoQjzNyMpGSzNpLla55ecL4EqINdQt3M5C280vL4FUFyJze-JTblNQPs/s1600/Canadaflag.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjy-U77tj5MppkSewtfKTI3uS8Nony6zWm1_lwd2O4Eeeja-6mw9UCR1PyahZk6TjK843QebvTsPXsuHoa4WmShoQjzNyMpGSzNpLla55ecL4EqINdQt3M5C280vL4FUFyJze-JTblNQPs/s1600/Canadaflag.jpg" height="88" width="200" /></a></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfmLqkC-RrLeAUzsOqd8PMwX9bO7GPTs8iCm7OGNgmPRPA1oGY9b2s1E-g0L338DcoO853SCTiY7oZIHGsrYiTfr04R52C5PGKcHQdwS__n7BJj6HtTHc3t1TnK4f3TYURZriCwwPQe4E/s1600/NBFlag.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfmLqkC-RrLeAUzsOqd8PMwX9bO7GPTs8iCm7OGNgmPRPA1oGY9b2s1E-g0L338DcoO853SCTiY7oZIHGsrYiTfr04R52C5PGKcHQdwS__n7BJj6HtTHc3t1TnK4f3TYURZriCwwPQe4E/s1600/NBFlag.jpg" height="93" width="200" /></a><br />
FREDERICTON (GNB) – La <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine.html">Semaine du patrimoine 2015 </a>aura pour thème <i>L’espoir
renaît</i> afin de souligner le 50<sup>e</sup> anniversaire du drapeau national
du Canada et le 50<sup>e</sup> anniversaire du drapeau provincial du
Nouveau-Brunswick.<br />
<i><br /></i>
<i>L’espoir renaît</i> est la traduction française de la devise du
Nouveau-Brunswick, <i>Spem Reduxit</i>.<br />
<br />
La population du Nouveau-Brunswick est invitée à réfléchir aux événements qui
ont façonné la province et son patrimoine collectif, pendant la Semaine du
patrimoine 2015, qui aura lieu du 9 au 16 février.<br />
<br />
Le drapeau provincial, qui a été conçu par Robert Pichette et le capitaine de
corvette Alan J. Beddoe, a été adopté par proclamation le 24 février 1965. Les
symboles qui figurent sur le drapeau sont tirés des armoiries conférées au
Nouveau-Brunswick, le 26 mai 1868, par un brevet royal de la reine Victoria.<br />
<br />
« La Semaine du patrimoine offre aux Néo-Brunswickois des occasions de
célébrer leur passé collectif dans leur communauté », a déclaré le ministre du
Tourisme, du Patrimoine et de la Culture, Bill Fraser. « Le thème choisi cette
année nous amènera à réfléchir à la multitude d’histoires néo-brunswickoises qui
confèrent à notre identité provinciale son caractère si distinctif. J'invite
tous les organismes communautaires, particuliers, écoles, musées, bibliothèques,
archives et lieux historiques intéressés à trouver des façons de célébrer notre
passé commun et à participer à la Semaine du patrimoine 2015. »<br />
<br />
<br />
<a name='more'></a>L’an dernier, plus de 110 activités ont été organisées partout dans la
province par divers groupes, dont des écoles, des bibliothèques, des musées, des
groupes culturels, des centres pour personnes âgées et des municipalités.<br />
<br />
La semaine a pour but de mieux faire connaître notre patrimoine collectif
dans les communautés, les écoles, les organisations du secteur privé et les
divers ordres de gouvernement. Le gouvernement provincial organise la Semaine du
patrimoine et en fait la promotion depuis 1994.<br />
<br />
Les trousses de planification pour la <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/semaine_patrimoine.html">Semaine du patrimoine 2015</a> seront
prêtes en décembre. Ceux qui désirent commander une trousse peuvent communiquer
avec le ministère au 506-453-2324 ou par courriel à <a href="mailto:semaine.patrimoine@gnb.ca">semaine.patrimoine@gnb.ca</a>.Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-48829372639605056862014-10-29T09:44:00.000-03:002014-10-29T09:46:41.810-03:00Deux élèves du N.-B. sélectionnées pour participer au Forum national jeunesse sur l’histoire du Canada<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www2.gnb.ca/content/dam/gnb/multimedia/2014/10/2014-10-28_3.JPG" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="http://www2.gnb.ca/content/dam/gnb/multimedia/2014/10/2014-10-28_3.JPG" height="200" width="150" /></a></div>
<span style="font-family: inherit;"><span id="goog_1151729536"></span><span id="goog_1151729537"></span><a href="https://www.blogger.com/"></a>FREDERICTON (GNB) – Deux élèves du Nouveau-Brunswick ont été sélectionnées
par la Société d’histoire nationale du Canada pour assister au Forum national
jeunesse sur l’histoire du Canada, qui se tiendra à Ottawa du 30 octobre au 2
novembre.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<span style="font-family: inherit;">Elles ont été choisies parmi un groupe d’élèves qui ont participé à un
concours national en préparant un bref documentaire vidéo dans le cadre du
programme Jeunes citoyens à la suite de leur participation aux Fêtes régionales
du patrimoine de leur district scolaire. Les deux élèves choisies sont :</span><br />
<ul>
<li><span style="font-family: inherit;">Maude Couturier, du district scolaire francophone Sud, qui a choisi pour son projet les infirmières militaires canadiennes pendant la Première Guerre mondiale. <a href="http://www.canadashistory.ca/Kids/YoungCitizens/Profiles/2014/Maude-C?lang=fr-CA" target="_blank">Son documentaire est disponible en ligne</a>; et</span></li>
<li><span style="font-family: inherit;">Emma Morehouse, du district scolaire Anglophone West, dont le projet portait
sur le pont couvert Patrick Owens, à Rusagonis. <a href="http://www.canadashistory.ca/Kids/YoungCitizens/Profiles/2014/Emma-M" target="_blank">Son documentaire est également disponible en ligne</a>.</span></li>
</ul>
<span style="font-family: inherit;">« Une multitude d’histoires forment l'identité provinciale du
Nouveau-Brunswick », a déclaré le ministre du Tourisme, du Patrimoine et de la
Culture, Bill Fraser. « Ces histoires méritent d’être racontées, et nos jeunes
peuvent jouer un rôle important en les faisant connaître aux Néo-Brunswickois et
aux autres Canadiens. Je félicite ces deux élèves pour leur réussite, qui
témoigne de l’engagement dont elles ont fait preuve pour préserver notre
histoire commune. »</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span>
<span style="font-family: inherit;"></span><br />
<a name='more'></a><span style="font-family: inherit;">Le programme Jeunes citoyens met l’accent sur la vie citoyenne au cours de
l’histoire et sert de complément aux Fêtes du patrimoine qui se tiennent dans
l’ensemble du Canada. Chaque année, plus de 60 000 élèves de chaque province et
territoire présentent le fruit de leurs recherches sur des grands personnages,
des légendes et des événements marquants de l’histoire canadienne à plus de
250 000 de leurs compatriotes canadiens.</span><br />
<br />
<span style="font-family: inherit;">« Je félicite et remercie ces deux élèves pour leur efforts visant à
promouvoir des aspects intéressants de l’histoire du Nouveau-Brunswick », a
affirmé le ministre de l'Éducation et du Développement de la petite enfance,
Serge Rousselle. « Je me réjouis de voir des élèves du Nouveau-Brunswick
acquérir des connaissances sur la riche histoire de notre province tout en
développant des compétences à l’aide des technologies pour devenir eux-mêmes des
éducateurs. La production de ces documentaires vidéo permet ainsi à des élèves
d’enseigner l'histoire aux autres. »</span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-86791635525657272442014-10-16T11:54:00.000-03:002014-11-28T16:35:43.139-04:00N’oubliez pas d’inscrire à votre calendrier! La Semaine du patrimoine et les fêtes du patrimoine 2015!<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhATV7veHK7Bw5S8xqDGjvwrV_AQlAiTtMc1d1Kc1j-JgAU3ZN0Ya7OLGNqvJGFh2ZosS0CTYQ4PoLNgtAH5YOppp30JUKiR56UN_0rc6tRSK7mnCO1VdOSz2M39VPNU8Gt8VV_AUiS9gI/s1600/Canadaflag.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhATV7veHK7Bw5S8xqDGjvwrV_AQlAiTtMc1d1Kc1j-JgAU3ZN0Ya7OLGNqvJGFh2ZosS0CTYQ4PoLNgtAH5YOppp30JUKiR56UN_0rc6tRSK7mnCO1VdOSz2M39VPNU8Gt8VV_AUiS9gI/s1600/Canadaflag.jpg" height="88" width="200" /></a></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: inherit;"><b><u><span lang="FR-CA">La Semaine du patrimoine </span></u></b></span><b style="font-family: inherit;"><u><span lang="FR-CA">du Nouveau-Brunswick 2015 </span></u></b><br />
<span style="font-family: inherit;"><b><u><span lang="FR-CA">(du 9 au 16 février)</span></u></b><span lang="FR-CA"><o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0cDfb_WrZtrQJ_OZLhCLLdNPson7yXKAQFOjZfdaZg_7uJ09Mshw4YPUx6oHPH4W_B4Q3PgTLs2_xZJeBsgdyqvmtVqvMVlgBnMvwEEKOJ9b14o_nzHT_52QlHS5hqiQzeVFiMjFF1uI/s1600/NBFlag.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0cDfb_WrZtrQJ_OZLhCLLdNPson7yXKAQFOjZfdaZg_7uJ09Mshw4YPUx6oHPH4W_B4Q3PgTLs2_xZJeBsgdyqvmtVqvMVlgBnMvwEEKOJ9b14o_nzHT_52QlHS5hqiQzeVFiMjFF1uI/s1600/NBFlag.jpg" height="93" width="200" /></a></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Afin de souligner le 50<sup>e</sup> anniversaire du drapeau national Canadien, ainsi que notre drapeau provincial, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a adopté le thème <i>L’espoir renaît </i>pour la Semaine du patrimoine 2015, qui se tiendra du 9 au 16 février. </span><span lang="FR-CA"><o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA"><span style="font-family: inherit;">On soulignera également au cours de cette semaine le Mois de l'histoire des Noirs, le Jour du drapeau national du Canada (le 15 février) et le Jour du patrimoine national (le 16 février). <o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">La Semaine du patrimoine fournit aux Néo-Brunswickois des occasions de célébrer leur passé à l’échelle locale. </span><span lang="FR-CA">Cette année, afin de reconnaitre nos deux drapeaux, tous les intéressés – organismes communautaires, particuliers, écoles, musées, bibliothèques, centres d’archives, centres pour personnes âgées et lieux historiques – sont invités à réfléchir à ces deux symboles importants qui marquent notre passé commun et à commencer dès maintenant à planifier leurs activités de la Semaine du patrimoine 2015 !</span><span lang="FR-CA"><o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Pour faciliter la planification des activités, des trousses de promotion de la Semaine du patrimoine 2015 seront disponibles à compter de la mi-décembre. Les personnes et les groupes qui désirent commander une trousse sont invités à communiquer avec le personnel de la Direction du patrimoine au ministère du Tourisme, du Patrimoine et de la Culture au 506‑453‑2324 ou à </span><span lang="EN-US"><a href="mailto:semaine.patrimoine@gnb.ca"><b><span lang="FR-CA">semaine.patrimoine@gnb.ca</span></b></a></span><span class="MsoHyperlink"><b><span lang="FR-CA">.</span></b></span><span lang="FR-CA"> </span><span lang="FR-CA"><o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA"><span style="font-family: inherit;">De plus amples renseignements seront affichés (très bientôt) sur le site Web de la Semaine du patrimoine 2015 . <o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: inherit;"><b><u><span lang="FR-CA">Fêtes du patrimoine du Nouveau-Brunswick 2015</span></u></b><span lang="FR-CA"><o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA"><span style="font-family: inherit;">Comme les années précédentes, une Fête régionale du patrimoine se déroulera dans votre district à la fin avril ou au début mai.<o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: inherit;"><span lang="FR-CA">Si vous voulez que votre école participe encore une fois au programme des Fêtes régionales du patrimoine du Nouveau-Brunswick, veuillez remplir <a href="http://www1.gnb.ca/0007/Heritage/Newsletter/FormulaireDesFetes2015.pdf">la feuille ci-jointe</a> et la retourner <b>à l’adresse suivant : </b></span><span lang="EN-US"><a href="mailto:fetesdupatrimoine@gnb.ca"><b><span lang="FR-CA">fetesdupatrimoine@gnb.ca</span></b></a></span><span lang="FR-CA"> <o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA"><span style="font-family: inherit;">De plus amples renseignements concernant le programme des Fêtes du patrimoine (et les évènements de 2014) sont affichés sur le <a href="http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/ministeres/tpc/patrimoine/content/fetes_patrimoine/2015.html">site Web</a>.<o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR-CA"><span style="font-family: inherit;">Je vous remercie et je vous offre mes meilleurs vœux de succès pour une autre année scolaire réussie!<o:p></o:p></span></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span style="font-family: inherit;">Cynthia</span></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-64797394645837426562014-09-23T12:12:00.000-03:002014-09-23T12:13:15.974-03:00Les Grands Mystères de l'histoire canadienne : La gazette du septembre<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6YeikrKGWkbr4-jlbEGxdgYqKCSN-UMBeNJepkl8x53esE5tIKS11Z1fOfSFQhVbZ8S6bmYRFCZf7kbbC2Fb6Mbn1I-31t2VOevmYhZTKWWnS-EmOaCx9n-nufNNWWGZgjGrTEKh9COw/s1600/GUMICH2.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6YeikrKGWkbr4-jlbEGxdgYqKCSN-UMBeNJepkl8x53esE5tIKS11Z1fOfSFQhVbZ8S6bmYRFCZf7kbbC2Fb6Mbn1I-31t2VOevmYhZTKWWnS-EmOaCx9n-nufNNWWGZgjGrTEKh9COw/s1600/GUMICH2.jpg" height="77" width="200" /></a></div>
Déjà septembre! À votre retour, n’oubliez pas de jeter un œil sur le site des
<a href="http://www.canadianmysteries.ca/fr/index.php">Grands Mystères de l'histoire canadienne (Grands Mystères)</a> dont les bureaux sont
situés à l’Université de Victoria.<br />
<br />
Voici la plus récente édition de la Gazette
des Grands Mystères. Publié trois fois l’an, notre bulletin offre aux
enseignants les plus récentes nouvelles sur les mystères historiques ainsi que
des conseils pratiques pour les enseigner.<br />
<ul>
<li><a href="http://www.canadianmysteries.ca/sites/gumichNewsLetter/september2014.html#fourFr" target="_blank">Outil pédagogique : Devrais-je participer à la ruée vers l’or?</a></li>
<li><a href="http://www.canadianmysteries.ca/sites/gumichNewsLetter/september2014.html#fiveFr">Outil pédagogique : La vie des gens riches au début du 20e siècle à Montréal</a></li>
<li><a href="http://www.canadianmysteries.ca/sites/gumichNewsLetter/september2014.html#sixFr">La source de La Gazette, tirée du mystère <span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: EN-CA; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-latin; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US; mso-fareast-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">« </span>Personne ne connaît son nom : Klatsassin et la guerre de Chilcotin <span style="font-family: "Calibri","sans-serif"; font-size: 11.0pt; line-height: 115%; mso-ansi-language: EN-CA; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-bidi-language: AR-SA; mso-bidi-theme-font: minor-latin; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-language: EN-US; mso-fareast-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">»</span></a></li>
</ul>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-37168903093360996052014-09-02T17:00:00.000-03:002014-09-02T17:00:21.189-03:00Nouvelles du RCIP, Septembre 2014<h3 style="margin: 5px 0px 10px;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTYS2H4r40Ev3vThBeGrmDp5MHdQzfKPe7PgdCB3LZKh7qGOUNb-ZHlfs4XLCpxe2unmlVbBg56frbrahMk_UPjXGdkOjBQsOHcxn_ZI8nSIwPGqFVVDPavfUYdSkiJjsZ7qNLyPmgoG0/s1600/banniere_rcip-chin_banner-fra.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTYS2H4r40Ev3vThBeGrmDp5MHdQzfKPe7PgdCB3LZKh7qGOUNb-ZHlfs4XLCpxe2unmlVbBg56frbrahMk_UPjXGdkOjBQsOHcxn_ZI8nSIwPGqFVVDPavfUYdSkiJjsZ7qNLyPmgoG0/s1600/banniere_rcip-chin_banner-fra.png" height="37" width="320" /></a></div>
</h3>
<ul>
<li><span style="font-family: inherit; font-size: small;"><b>Le Musée virtuel du Canada va bientôt déménager</b></span></li>
</ul>
<div>
<span style="font-family: inherit;">Comme il a annoncé dans le Plan d’action économique de 2014, le Musée canadien de l’histoire sera bientôt responsable du Musée virtuel du Canada (MVC). Le transfert officiel est prévu pour le 30 septembre 2014.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div>
<h3 style="margin: 5px 0px 10px;">
<ul>
<li><span style="font-family: inherit; font-size: small;">Collections sans frontières : outil de bilan de santé à l'intention des créateurs de contenus numériques</span></li>
</ul>
</h3>
</div>
<div>
<span style="font-family: inherit;">Alors que les établissements culturels continuent à créer une variété de contenus et de produits numériques, ils procèdent souvent sans suffisamment tenir compte des efforts et des ressources nécessaires à la pérennité de ces derniers.</span><br />
<span style="font-family: inherit;"><br /></span></div>
<div>
<h3 style="margin: 0px; padding: 0px;">
<ul>
<li><span style="font-family: inherit; font-size: small;">Choisir le bon média social pour votre établissement</span></li>
</ul>
</h3>
</div>
<div>
<span style="font-family: inherit;">Dans cette série, le RCIP examine les différents moyens qui s’offrent aux musées pour promouvoir leurs activités en ligne. Ce mois-ci, nous examinons les microblogues et leur utilisation dans le secteur patrimonial.</span></div>
<div>
<span style="font-family: inherit;"><br />
</span></div>
<div>
<a href="http://t.konversation.com/app/t/85h/p/s/wb36vn/q/pnb9zr/t.htm" target="_blank"><span style="font-family: inherit;">Lisez plus...</span></a></div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-6919237896983403604.post-42294922561341473882014-08-19T14:08:00.001-03:002014-08-19T14:24:40.878-03:00Bibliothèque et Archives Canada, projet nous nous souviendrons d'eux<div class="inner-content">
<div class="separator" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em; text-align: center;">
<img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuBdD5Q-rn3OEyDLzNAXOB1RDDGzR2Nr_W20s6X_yDki8wGTZ4zYeHz7k6jFbFbGb6VkyRiqpzqjeK4lhjRz-IbMwgDJRHE9BKDdPE2vrcXq5rqphsOS_WGjvtqDVpQvvSB4-niGeyuGg/s1600/025009-misc03.jpg" height="200" width="56" /></div>
</div>
<span style="font-family: inherit;">Mis à jour: le </span><i style="font-family: inherit;">projet nous nous souviendrons d'eux</i><span style="font-family: inherit;"> et la recherche relative aux cénotaphex.</span><br />
<br />
<span style="font-family: inherit; font-size: small; font-weight: normal;">Bienvenue à <em><a href="http://www.collectionscanada.gc.ca/cenotaphe/index-f.html" target="_blank">Nous nous souviendrons d'eux</a></em>. Nous avons récemment ajouté 200 dossiers militaires numérisés sur notre site Web. Ces documents représentent 100 hommes et femmes qui ont servi notre pays au cours de la Première Guerre mondiale ainsi que 100 hommes et femmes de la Seconde Guerre mondiale. Nous tenons à remercier <a href="http://www.ancestry.ca/" title="Lien externe vers Ancestry.ca">Ancestry.ca</a> (www.ancestry.ca) dont l’appui a permis de réaliser ce projet.</span><br />
<br />
<span style="font-family: inherit; font-size: small; font-weight: normal;">La conception et la présentation du présent site sont nouvelles mais l'information qui se trouve dans les sections " Notes pour les enseignants " et " Lignes directives pour les élèves " n'a pas été modifiée. Par ailleurs, les sections " Galeries " et " Sites à consulter " comportent des renseignements supplémentaires.</span>Unknownnoreply@blogger.com0